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Dans la première exposition du cycle "Alors que j'écoutais moi aussi..." présentée à la Criée, on trouve une œuvre de l'artiste japonais Shimabuku intitulée <em>Pierres de pieuvres</em>. Il s'agit d'une petite vitrine basse sur laquelle on peut se pencher pour admirer diverses pierres et coquillages dont l'emplacement a été étudié au millimètre près. Cette installation énigmatique est immédiatement éclairée par un petit texte écrit par l'artiste et déposé dans la vitrine :
<blockquote>«Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j’aime à collectionner ces objets à mon tour"</blockquote>
Cette belle histoire d'une collection modeste transmise de la pieuvre à l'homme, et de l'artiste aux visiteurs de l'exposition, a inspiré de nouvelles histoires à ces derniers, et en particulier aux enfants : à lire et à écouter.
Pour en savoir plus sur l'œuvre de Shimabuku, cliquez <a href="https://correspondances.la-criee.org/les-ressources-pedagogiques/shimabuku/?section=42">ici</a>.
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Dans la première exposition du cycle "Alors que j'écoutais moi aussi..." présentée à la Criée, on trouve une œuvre de l'artiste japonais Shimabuku intitulée Pierres de pieuvres. Il s'agit d'une petite vitrine basse sur laquelle on peut se pencher pour admirer diverses pierres et coquillages dont l'emplacement a été étudié au millimètre près. Cette installation énigmatique est immédiatement éclairée par un petit texte écrit par l'artiste et déposé dans la vitrine :
«Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j’aime à collectionner ces objets à mon tour"
Cette belle histoire d'une collection modeste transmise de la pieuvre à l'homme, et de l'artiste aux visiteurs de l'exposition, a inspiré de nouvelles histoires à ces derniers, et en particulier aux enfants : à lire et à écouter.
Pour en savoir plus sur l'œuvre de Shimabuku, cliquez ici.
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<p>Dans la première exposition du cycle « Alors que j’écoutais moi aussi… » présentée à la Criée, on trouve une œuvre de l’artiste japonais Shimabuku intitulée <em>Pierres de pieuvres</em>. Il s’agit d’une petite vitrine basse sur laquelle on peut se pencher pour admirer diverses pierres et coquillages dont l’emplacement a été étudié au millimètre près. Cette installation énigmatique est immédiatement éclairée par un petit texte écrit par l’artiste et déposé dans la vitrine :</p>
<blockquote><p>«Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j’aime à collectionner ces objets à mon tour »</p></blockquote>
<p>Cette belle histoire d’une collection modeste transmise de la pieuvre à l’homme, et de l’artiste aux visiteurs de l’exposition, a inspiré de nouvelles histoires à ces derniers, et en particulier aux enfants : à lire et à écouter.</p>
<p>Pour en savoir plus sur l’œuvre de Shimabuku, cliquez <a href="https://correspondances.la-criee.org/les-ressources-pedagogiques/shimabuku/?section=42">ici</a>.</p>
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Dans la première exposition du cycle « Alors que j’écoutais moi aussi… » présentée à la Criée, on trouve une œuvre de l’artiste japonais Shimabuku intitulée Pierres de pieuvres. Il s’agit d’une petite vitrine basse sur laquelle on peut se pencher pour admirer diverses pierres et coquillages dont l’emplacement a été étudié au millimètre près. Cette installation énigmatique est immédiatement éclairée par un petit texte écrit par l’artiste et déposé dans la vitrine :
«Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j’aime à collectionner ces objets à mon tour »
Cette belle histoire d’une collection modeste transmise de la pieuvre à l’homme, et de l’artiste aux visiteurs de l’exposition, a inspiré de nouvelles histoires à ces derniers, et en particulier aux enfants : à lire et à écouter.
Pour en savoir plus sur l’œuvre de Shimabuku, cliquez ici.
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