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<strong>Olivier Roller</strong>, <em>Moulinet</em>, sapin, 2002.
Courtesy de l’artiste.
_
Né en 1971
Vit et travaille à Paris
<a href="http://www.olivierroller.com/pages/p2.html" target="_blank" rel="noopener">Olivier Roller</a> est un photographe français qui réalise principalement des portraits en studio. Depuis quelques années, il s'intéresse en particulier aux figures du pouvoir, aux visages de l'autorité de l'Antiquité à nos jours : les hommes politiques bien sûr, mais aussi les avocats, les financiers, les publicitaires, les intellectuels jusqu'aux empereurs romains. Après avoir publié <em>Face(s)</em> chez Argol en 2007, il publie en 2014 une édition limitée, <em>Figures du pouvoir</em>, numérotée et signée à 50 exemplaires.
Pour l'exposition <em>a l l e r dehors</em> à La Criée, Olivier expose un tout autre travail, plus intime, réalisé sur quinze ans en grande partie dans une maison de famille des Cévennes. Intitulée <em>Du Moulinet et d’ailleurs (au dehors du dedans de moi), </em>la série se compose de « bouts de mémoire », de temps suspendus. Les photographies évoquent des moments d’ennui, de vie de famille, des souvenirs, l'écoulement des saisons. Elles sont réorganisés en un ensemble qui joue sur plusieurs niveaux, passant de l’obscurité à la lumière, de la tendresse à l’ironie. L’assemblage offre à chacun la possibilité d’observer les photographies de près ou de loin et de créer son propre récit à partir de morceaux choisis.
[caption id="attachment_1672" align="alignnone" width="336"]<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive size-full wp-image-1672" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1.jpg" alt="" width="336" height="338" /></a> Olivier Roller, Moulinet, sapin, 2002.<br />Courtesy de l’artiste.[/caption]
Pour Olivier Roller, « Battre la campagne, c'est aller à la rencontre de notre mémoire. Ces photographies sont celles de l’écoulement des saisons dans les Cévennes, où le temps est ralenti, où les sens reprennent vie, où en redevenant un peu animal j’oublie, je vais au dehors de dedans de moi ».
Olivier Roller, Moulinet, sapin, 2002.
Courtesy de l’artiste.
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Né en 1971
Vit et travaille à Paris
Olivier Roller est un photographe français qui réalise principalement des portraits en studio. Depuis quelques années, il s'intéresse en particulier aux figures du pouvoir, aux visages de l'autorité de l'Antiquité à nos jours : les hommes politiques bien sûr, mais aussi les avocats, les financiers, les publicitaires, les intellectuels jusqu'aux empereurs romains. Après avoir publié Face(s) chez Argol en 2007, il publie en 2014 une édition limitée, Figures du pouvoir, numérotée et signée à 50 exemplaires.
Pour l'exposition a l l e r dehors à La Criée, Olivier expose un tout autre travail, plus intime, réalisé sur quinze ans en grande partie dans une maison de famille des Cévennes. Intitulée Du Moulinet et d’ailleurs (au dehors du dedans de moi), la série se compose de « bouts de mémoire », de temps suspendus. Les photographies évoquent des moments d’ennui, de vie de famille, des souvenirs, l'écoulement des saisons. Elles sont réorganisés en un ensemble qui joue sur plusieurs niveaux, passant de l’obscurité à la lumière, de la tendresse à l’ironie. L’assemblage offre à chacun la possibilité d’observer les photographies de près ou de loin et de créer son propre récit à partir de morceaux choisis.
[caption id="attachment_1672" align="alignnone" width="336"] Olivier Roller, Moulinet, sapin, 2002.
Courtesy de l’artiste.[/caption] Pour Olivier Roller, « Battre la campagne, c'est aller à la rencontre de notre mémoire. Ces photographies sont celles de l’écoulement des saisons dans les Cévennes, où le temps est ralenti, où les sens reprennent vie, où en redevenant un peu animal j’oublie, je vais au dehors de dedans de moi ». |
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<p><strong>Olivier Roller</strong>, <em>Moulinet</em>, sapin, 2002.<br />
Courtesy de l’artiste.</p>
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<p>Né en 1971<br />
Vit et travaille à Paris</p>
<p><a href="http://www.olivierroller.com/pages/p2.html" target="_blank" rel="noopener">Olivier Roller</a> est un photographe français qui réalise principalement des portraits en studio. Depuis quelques années, il s’intéresse en particulier aux figures du pouvoir, aux visages de l’autorité de l’Antiquité à nos jours : les hommes politiques bien sûr, mais aussi les avocats, les financiers, les publicitaires, les intellectuels jusqu’aux empereurs romains. Après avoir publié <em>Face(s)</em> chez Argol en 2007, il publie en 2014 une édition limitée, <em>Figures du pouvoir</em>, numérotée et signée à 50 exemplaires.</p>
<p>Pour l’exposition <em>a l l e r dehors</em> à La Criée, Olivier expose un tout autre travail, plus intime, réalisé sur quinze ans en grande partie dans une maison de famille des Cévennes. Intitulée <em>Du Moulinet et d’ailleurs (au dehors du dedans de moi), </em>la série se compose de « bouts de mémoire », de temps suspendus. Les photographies évoquent des moments d’ennui, de vie de famille, des souvenirs, l’écoulement des saisons. Elles sont réorganisés en un ensemble qui joue sur plusieurs niveaux, passant de l’obscurité à la lumière, de la tendresse à l’ironie. L’assemblage offre à chacun la possibilité d’observer les photographies de près ou de loin et de créer son propre récit à partir de morceaux choisis.</p>
<div id="attachment_1672" style="width: 346px" class="wp-caption alignnone"><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1.jpg"><img aria-describedby="caption-attachment-1672" decoding="async" loading="lazy" class="img-thumbnail img-responsive size-full wp-image-1672" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1.jpg" alt="" width="336" height="338" srcset="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1.jpg 336w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1-150x150.jpg 150w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1-298x300.jpg 298w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/02/roller1-220x220.jpg 220w" sizes="(max-width: 336px) 100vw, 336px" /></a><p id="caption-attachment-1672" class="wp-caption-text">Olivier Roller, Moulinet, sapin, 2002.<br />Courtesy de l’artiste.</p></div>
<p>Pour Olivier Roller, « Battre la campagne, c’est aller à la rencontre de notre mémoire. Ces photographies sont celles de l’écoulement des saisons dans les Cévennes, où le temps est ralenti, où les sens reprennent vie, où en redevenant un peu animal j’oublie, je vais au dehors de dedans de moi ».</p>
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Olivier Roller, Moulinet, sapin, 2002. _ Né en 1971 Olivier Roller est un photographe français qui réalise principalement des portraits en studio. Depuis quelques années, il s’intéresse en particulier aux figures du pouvoir, aux visages de l’autorité de l’Antiquité à nos jours : les hommes politiques bien sûr, mais aussi les avocats, les financiers, les publicitaires, les intellectuels jusqu’aux empereurs romains. Après avoir publié Face(s) chez Argol en 2007, il publie en 2014 une édition limitée, Figures du pouvoir, numérotée et signée à 50 exemplaires. Pour l’exposition a l l e r dehors à La Criée, Olivier expose un tout autre travail, plus intime, réalisé sur quinze ans en grande partie dans une maison de famille des Cévennes. Intitulée Du Moulinet et d’ailleurs (au dehors du dedans de moi), la série se compose de « bouts de mémoire », de temps suspendus. Les photographies évoquent des moments d’ennui, de vie de famille, des souvenirs, l’écoulement des saisons. Elles sont réorganisés en un ensemble qui joue sur plusieurs niveaux, passant de l’obscurité à la lumière, de la tendresse à l’ironie. L’assemblage offre à chacun la possibilité d’observer les photographies de près ou de loin et de créer son propre récit à partir de morceaux choisis. Pour Olivier Roller, « Battre la campagne, c’est aller à la rencontre de notre mémoire. Ces photographies sont celles de l’écoulement des saisons dans les Cévennes, où le temps est ralenti, où les sens reprennent vie, où en redevenant un peu animal j’oublie, je vais au dehors de dedans de moi ».
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