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| title | String Jean Dupuy |
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<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/Jean_Dupuy.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft wp-image-7069 size-thumbnail" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/Jean_Dupuy-150x150.jpg" alt="" width="150" height="150" /></a>
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Né le 22 novembre 1925 à Moulins, France
Vit et travaille à Nice, France
Représenté par la galerie Loevenbruck, Paris -
<a href="http://www.loevenbruck.com/">www.loevenbruck.com</a>
Jean Dupuy naît en 1925 en Auvergne. Après un bref passage à la section architecture de l’Ecole des Beaux-arts de Paris, il se consacre à la peinture, pratiquant une abstraction gestuelle proche des œuvres de Georges Mathieu et de Jean Degottex. Il jette néanmoins la plus grande partie de sa production picturale (issue de l’Abstraction lyrique) dans la Seine : une action qu’il commentera plus tard en deux mots « Plouf ! Ouf ! ».
En 1968 (soit un an après son arrivée à New York), il réalise sa sculpture <em>Cone Pyramid</em> <em>(Heart Beats Dust)</em> qui s’impose comme l’œuvre emblématique d’ <em>E.A.T. (Experiments in Art and Technology</em>). Cette sculpture de poussière, activée par les pulsations cardiaques des spectateurs, est la première rencontre de Jean Dupuy avec l’idée même du collectif mais aussi avec ce qu’il nomme le Lazy Art : l’art paresseux, un art qui consisterait, nous dit-il, à « faire travailler les autres, en grande partie, à sa place». Il avoue d’ailleurs volontiers la grande part de hasard induite dans son travail.
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<strong>Œuvres exposées</strong>
<em>Soup and tart</em>, 1974
affiche, impression noir et blanc sur papier, 58x62,5 cm
<em>Front/Back</em>, 1976
affiche, impression noir et blanc sur calque, 48 x 30,1 cm
<em>Three Evenings on a Revolving Stag</em>e,1976
affiche, impression couleur sur papier, 55,5x56 cm courtesy l’artiste et la galerie Loevenbruck, Paris
<em>PS1 (A tower),</em> 1978 affiche, 35,6x21,6 cm courtesy l’artiste et Emily Harvey Foundation, New York
L’exposition présente les affiches de la main de l’artiste qui annonçaient les performances collectives dont il fut acteur et initiateur. Elles témoignent de la vitalité de la scène artistique new-yorkaise des années 1970. L’artiste en a été le fédérateur, en organisant nombre de soirées où se croisaient artistes plasticiens, musiciens et publics.
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Né le 22 novembre 1925 à Moulins, France
Vit et travaille à Nice, France
Représenté par la galerie Loevenbruck, Paris -
www.loevenbruck.com
Jean Dupuy naît en 1925 en Auvergne. Après un bref passage à la section architecture de l’Ecole des Beaux-arts de Paris, il se consacre à la peinture, pratiquant une abstraction gestuelle proche des œuvres de Georges Mathieu et de Jean Degottex. Il jette néanmoins la plus grande partie de sa production picturale (issue de l’Abstraction lyrique) dans la Seine : une action qu’il commentera plus tard en deux mots « Plouf ! Ouf ! ».
En 1968 (soit un an après son arrivée à New York), il réalise sa sculpture Cone Pyramid (Heart Beats Dust) qui s’impose comme l’œuvre emblématique d’ E.A.T. (Experiments in Art and Technology). Cette sculpture de poussière, activée par les pulsations cardiaques des spectateurs, est la première rencontre de Jean Dupuy avec l’idée même du collectif mais aussi avec ce qu’il nomme le Lazy Art : l’art paresseux, un art qui consisterait, nous dit-il, à « faire travailler les autres, en grande partie, à sa place». Il avoue d’ailleurs volontiers la grande part de hasard induite dans son travail.
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Œuvres exposées
Soup and tart, 1974
affiche, impression noir et blanc sur papier, 58x62,5 cm
Front/Back, 1976
affiche, impression noir et blanc sur calque, 48 x 30,1 cm
Three Evenings on a Revolving Stage,1976
affiche, impression couleur sur papier, 55,5x56 cm courtesy l’artiste et la galerie Loevenbruck, Paris
PS1 (A tower), 1978 affiche, 35,6x21,6 cm courtesy l’artiste et Emily Harvey Foundation, New York
L’exposition présente les affiches de la main de l’artiste qui annonçaient les performances collectives dont il fut acteur et initiateur. Elles témoignent de la vitalité de la scène artistique new-yorkaise des années 1970. L’artiste en a été le fédérateur, en organisant nombre de soirées où se croisaient artistes plasticiens, musiciens et publics.
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<p><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/Jean_Dupuy.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="img-thumbnail img-responsive alignleft wp-image-7069 size-thumbnail" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/Jean_Dupuy-150x150.jpg" alt="" width="150" height="150" /></a></p>
<p>_</p>
<p>Né le 22 novembre 1925 à Moulins, France<br />
Vit et travaille à Nice, France<br />
Représenté par la galerie Loevenbruck, Paris –</p>
<p><a href="http://www.loevenbruck.com/">www.loevenbruck.com</a></p>
<p>Jean Dupuy naît en 1925 en Auvergne. Après un bref passage à la section architecture de l’Ecole des Beaux-arts de Paris, il se consacre à la peinture, pratiquant une abstraction gestuelle proche des œuvres de Georges Mathieu et de Jean Degottex. Il jette néanmoins la plus grande partie de sa production picturale (issue de l’Abstraction lyrique) dans la Seine : une action qu’il commentera plus tard en deux mots « Plouf ! Ouf ! ».</p>
<p>En 1968 (soit un an après son arrivée à New York), il réalise sa sculpture <em>Cone Pyramid</em> <em>(Heart Beats Dust)</em> qui s’impose comme l’œuvre emblématique d’ <em>E.A.T. (Experiments in Art and Technology</em>). Cette sculpture de poussière, activée par les pulsations cardiaques des spectateurs, est la première rencontre de Jean Dupuy avec l’idée même du collectif mais aussi avec ce qu’il nomme le Lazy Art : l’art paresseux, un art qui consisterait, nous dit-il, à « faire travailler les autres, en grande partie, à sa place». Il avoue d’ailleurs volontiers la grande part de hasard induite dans son travail.<br />
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<p><strong>Œuvres exposées</strong></p>
<p><em>Soup and tart</em>, 1974<br />
affiche, impression noir et blanc sur papier, 58×62,5 cm<br />
<em>Front/Back</em>, 1976<br />
affiche, impression noir et blanc sur calque, 48 x 30,1 cm<br />
<em>Three Evenings on a Revolving Stag</em>e,1976<br />
affiche, impression couleur sur papier, 55,5×56 cm courtesy l’artiste et la galerie Loevenbruck, Paris<br />
<em>PS1 (A tower),</em> 1978 affiche, 35,6×21,6 cm courtesy l’artiste et Emily Harvey Foundation, New York</p>
<p>L’exposition présente les affiches de la main de l’artiste qui annonçaient les performances collectives dont il fut acteur et initiateur. Elles témoignent de la vitalité de la scène artistique new-yorkaise des années 1970. L’artiste en a été le fédérateur, en organisant nombre de soirées où se croisaient artistes plasticiens, musiciens et publics.</p>
_ Né le 22 novembre 1925 à Moulins, France Jean Dupuy naît en 1925 en Auvergne. Après un bref passage à la section architecture de l’Ecole des Beaux-arts de Paris, il se consacre à la peinture, pratiquant une abstraction gestuelle proche des œuvres de Georges Mathieu et de Jean Degottex. Il jette néanmoins la plus grande partie de sa production picturale (issue de l’Abstraction lyrique) dans la Seine : une action qu’il commentera plus tard en deux mots « Plouf ! Ouf ! ». En 1968 (soit un an après son arrivée à New York), il réalise sa sculpture Cone Pyramid (Heart Beats Dust) qui s’impose comme l’œuvre emblématique d’ E.A.T. (Experiments in Art and Technology). Cette sculpture de poussière, activée par les pulsations cardiaques des spectateurs, est la première rencontre de Jean Dupuy avec l’idée même du collectif mais aussi avec ce qu’il nomme le Lazy Art : l’art paresseux, un art qui consisterait, nous dit-il, à « faire travailler les autres, en grande partie, à sa place». Il avoue d’ailleurs volontiers la grande part de hasard induite dans son travail. Œuvres exposées Soup and tart, 1974 L’exposition présente les affiches de la main de l’artiste qui annonçaient les performances collectives dont il fut acteur et initiateur. Elles témoignent de la vitalité de la scène artistique new-yorkaise des années 1970. L’artiste en a été le fédérateur, en organisant nombre de soirées où se croisaient artistes plasticiens, musiciens et publics. |
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