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date | String 2022-06-16 15:24:02 |
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title | String Biographie de Katia Kameli |
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<strong>Katia Kameli</strong>
Née en 1973 à Clermont-Ferrand, France.
<a href="http://www.katiakameli.com">www.katiakameli.com</a>
Associée au cycle artistique <em>Lili, la rozell et le marimba</em> (2019-2022) de La Criée, consacré aux pratiques et savoirs vernaculaires, Katia Kameli mène un travail de recherche ancré dans sa double culture franco-algérienne. Les mythes et récits historiques et culturels, individuels ou collectifs alimentent son imaginaire plastique et poétique. Ses vidéos et installations abordent tout autant la mémoire (<em>Le roman algérien</em>), l'histoire de la musique raï (<em>Ya Rayi</em>) ou encore la transformation et le métissage de recueil d'histoires et de contes (<em>The storyteller</em>, <em>Stream of stories</em>). Proche d'une démarche littéraire, Katia Kameli se définit comme une « traductrice », au sens où cette démarche implique une extension de sens et de formes, une nécessaire adaptation. Traduire, c'est réinventer.
Son travail a trouvé une visibilité et une reconnaissance sur la scène artistique et cinématographique internationale et a été montré lors d’expositions personnelles : <em>She Rekindled the vividness of the past</em>, Kunsthalle Münster, Allemagne (2019), <em>À l’ombre de l’étoile et du croissant</em>, Centre régional de la photographie Hauts-de France, Douchy-les-Mines (2018) ; <em>Stream of Stories, chapitre 5</em>, Biennale de Rennes (2016) ; <em>What Language Do You Speak Stranger?</em>, The Mosaic Rooms, London (2016) ; Taymour Grahne Gallery, New York (2014).
Elle a également participé à de nombreuses expositions collectives : Biennale de Dakar (2018) ; Biennale de Rennes, (2018) ; Platforma Festival, Newcastle, (2017) ; Global Players, Biennale für aktuelle fotografie Kunstverein Ludwigshafen, Mannheim (2017) ; Cher(e)s Ami(e)s, Centre Pompidou, Paris (2016) ; Made in Algeria, Mucem, Marseille (2016) ; Entry Prohibited to Foreigners, Havre Magasinet, Boden, Suede (2015) ; Higher Atlas, Biennale de Marrakech (2012). Ses films ont été aussi diffusés en salle et dans de nombreux festivales : MK2 Beaubourg, Cinémathèque française, Utopia Bordeaux, Cinemed, Gulbenkian, IFFR Rotterdam.
Ses œuvres font aussi parties des collections suivantes : Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Centre National des Arts Plastiques (cnap), FRAC Bretagne, FRAC Hauts-de-France, FRAC Poitou-Charente et FRAC PACA.
Katia Kameli
Née en 1973 à Clermont-Ferrand, France.
www.katiakameli.com
Associée au cycle artistique Lili, la rozell et le marimba (2019-2022) de La Criée, consacré aux pratiques et savoirs vernaculaires, Katia Kameli mène un travail de recherche ancré dans sa double culture franco-algérienne. Les mythes et récits historiques et culturels, individuels ou collectifs alimentent son imaginaire plastique et poétique. Ses vidéos et installations abordent tout autant la mémoire (Le roman algérien), l'histoire de la musique raï (Ya Rayi) ou encore la transformation et le métissage de recueil d'histoires et de contes (The storyteller, Stream of stories). Proche d'une démarche littéraire, Katia Kameli se définit comme une « traductrice », au sens où cette démarche implique une extension de sens et de formes, une nécessaire adaptation. Traduire, c'est réinventer.
Son travail a trouvé une visibilité et une reconnaissance sur la scène artistique et cinématographique internationale et a été montré lors d’expositions personnelles : She Rekindled the vividness of the past, Kunsthalle Münster, Allemagne (2019), À l’ombre de l’étoile et du croissant, Centre régional de la photographie Hauts-de France, Douchy-les-Mines (2018) ; Stream of Stories, chapitre 5, Biennale de Rennes (2016) ; What Language Do You Speak Stranger?, The Mosaic Rooms, London (2016) ; Taymour Grahne Gallery, New York (2014).
Elle a également participé à de nombreuses expositions collectives : Biennale de Dakar (2018) ; Biennale de Rennes, (2018) ; Platforma Festival, Newcastle, (2017) ; Global Players, Biennale für aktuelle fotografie Kunstverein Ludwigshafen, Mannheim (2017) ; Cher(e)s Ami(e)s, Centre Pompidou, Paris (2016) ; Made in Algeria, Mucem, Marseille (2016) ; Entry Prohibited to Foreigners, Havre Magasinet, Boden, Suede (2015) ; Higher Atlas, Biennale de Marrakech (2012). Ses films ont été aussi diffusés en salle et dans de nombreux festivales : MK2 Beaubourg, Cinémathèque française, Utopia Bordeaux, Cinemed, Gulbenkian, IFFR Rotterdam.
Ses œuvres font aussi parties des collections suivantes : Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Centre National des Arts Plastiques (cnap), FRAC Bretagne, FRAC Hauts-de-France, FRAC Poitou-Charente et FRAC PACA.
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<p><strong>Katia Kameli</strong></p>
<p>Née en 1973 à Clermont-Ferrand, France.</p>
<p><a href="http://www.katiakameli.com">www.katiakameli.com</a></p>
<p>Associée au cycle artistique <em>Lili, la rozell et le marimba</em> (2019-2022) de La Criée, consacré aux pratiques et savoirs vernaculaires, Katia Kameli mène un travail de recherche ancré dans sa double culture franco-algérienne. Les mythes et récits historiques et culturels, individuels ou collectifs alimentent son imaginaire plastique et poétique. Ses vidéos et installations abordent tout autant la mémoire (<em>Le roman algérien</em>), l’histoire de la musique raï (<em>Ya Rayi</em>) ou encore la transformation et le métissage de recueil d’histoires et de contes (<em>The storyteller</em>, <em>Stream of stories</em>). Proche d’une démarche littéraire, Katia Kameli se définit comme une « traductrice », au sens où cette démarche implique une extension de sens et de formes, une nécessaire adaptation. Traduire, c’est réinventer.</p>
<p>Son travail a trouvé une visibilité et une reconnaissance sur la scène artistique et cinématographique internationale et a été montré lors d’expositions personnelles : <em>She Rekindled the vividness of the past</em>, Kunsthalle Münster, Allemagne (2019), <em>À l’ombre de l’étoile et du croissant</em>, Centre régional de la photographie Hauts-de France, Douchy-les-Mines (2018) ; <em>Stream of Stories, chapitre 5</em>, Biennale de Rennes (2016) ; <em>What Language Do You Speak Stranger?</em>, The Mosaic Rooms, London (2016) ; Taymour Grahne Gallery, New York (2014).</p>
<p>Elle a également participé à de nombreuses expositions collectives : Biennale de Dakar (2018) ; Biennale de Rennes, (2018) ; Platforma Festival, Newcastle, (2017) ; Global Players, Biennale für aktuelle fotografie Kunstverein Ludwigshafen, Mannheim (2017) ; Cher(e)s Ami(e)s, Centre Pompidou, Paris (2016) ; Made in Algeria, Mucem, Marseille (2016) ; Entry Prohibited to Foreigners, Havre Magasinet, Boden, Suede (2015) ; Higher Atlas, Biennale de Marrakech (2012). Ses films ont été aussi diffusés en salle et dans de nombreux festivales : MK2 Beaubourg, Cinémathèque française, Utopia Bordeaux, Cinemed, Gulbenkian, IFFR Rotterdam.</p>
<p>Ses œuvres font aussi parties des collections suivantes : Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Centre National des Arts Plastiques (cnap), FRAC Bretagne, FRAC Hauts-de-France, FRAC Poitou-Charente et FRAC PACA.</p>
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Katia Kameli Née en 1973 à Clermont-Ferrand, France. Associée au cycle artistique Lili, la rozell et le marimba (2019-2022) de La Criée, consacré aux pratiques et savoirs vernaculaires, Katia Kameli mène un travail de recherche ancré dans sa double culture franco-algérienne. Les mythes et récits historiques et culturels, individuels ou collectifs alimentent son imaginaire plastique et poétique. Ses vidéos et installations abordent tout autant la mémoire (Le roman algérien), l’histoire de la musique raï (Ya Rayi) ou encore la transformation et le métissage de recueil d’histoires et de contes (The storyteller, Stream of stories). Proche d’une démarche littéraire, Katia Kameli se définit comme une « traductrice », au sens où cette démarche implique une extension de sens et de formes, une nécessaire adaptation. Traduire, c’est réinventer. Son travail a trouvé une visibilité et une reconnaissance sur la scène artistique et cinématographique internationale et a été montré lors d’expositions personnelles : She Rekindled the vividness of the past, Kunsthalle Münster, Allemagne (2019), À l’ombre de l’étoile et du croissant, Centre régional de la photographie Hauts-de France, Douchy-les-Mines (2018) ; Stream of Stories, chapitre 5, Biennale de Rennes (2016) ; What Language Do You Speak Stranger?, The Mosaic Rooms, London (2016) ; Taymour Grahne Gallery, New York (2014). Elle a également participé à de nombreuses expositions collectives : Biennale de Dakar (2018) ; Biennale de Rennes, (2018) ; Platforma Festival, Newcastle, (2017) ; Global Players, Biennale für aktuelle fotografie Kunstverein Ludwigshafen, Mannheim (2017) ; Cher(e)s Ami(e)s, Centre Pompidou, Paris (2016) ; Made in Algeria, Mucem, Marseille (2016) ; Entry Prohibited to Foreigners, Havre Magasinet, Boden, Suede (2015) ; Higher Atlas, Biennale de Marrakech (2012). Ses films ont été aussi diffusés en salle et dans de nombreux festivales : MK2 Beaubourg, Cinémathèque française, Utopia Bordeaux, Cinemed, Gulbenkian, IFFR Rotterdam. Ses œuvres font aussi parties des collections suivantes : Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Centre National des Arts Plastiques (cnap), FRAC Bretagne, FRAC Hauts-de-France, FRAC Poitou-Charente et FRAC PACA.
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