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<strong>GYAN PANCHAL</strong>
Né en 1973, à Paris
Vit et travaille à Eymoutiers (Haute-Vienne)
<a href="http://www.marcellealix.com/artistes/oeuvres/672/gyan-panchal">www.marcellealix.com/artistes/oeuvres/672/gyan-panchal</a>
Depuis quelques années, le travail de Gyan Panchal a changé. Après avoir préféré des matériaux bruts et lisses composant des formes abstraites, il emploie des objets utilitaires, issus de l’environnement agraire ou littoral — des silos, des caisses, des contenants qui n’affirment pas une forme autonome, mais racontent des usages, des façons pour l’homme d’entrer en relation avec le monde, à la fois pour s’en protéger et pour le pratiquer.
<strong>_</strong>
<strong>Œuvre exposée</strong>
<strong><em>Le Poumon,</em></strong><strong> 2017</strong>
Barque, bleu de travail, résine
311 x 52 x 38 cm
Courtoisie de l'artiste et de la galerie Marcelle Alix, Paris
<em>Le Poumon </em>associe deux interfaces fragmentaires que l’homme emploie pour à la fois entrer en contact et s’isoler du monde. Cette barque, Gyan Panchal l’a découvert envasée dans la mer intérieure du Golfe du Morbihan. Il la nettoie, et ne conserve qu’une fraction de sa coque, qui porte les traces de peintures passées. Au creux de l’embarcation, il place un vêtement ou, plus précisément, le pantalon d’un bleu de travail qu’il coupe en deux. Installée à la verticale, la barque est semblable à une cage thoracique et l’habit à un poumon qui expire, se rétracte, pour mieux inspirer ensuite, rendant ainsi poreuse la frontière qui distingue le dedans du dehors, l’homme du monde.
GYAN PANCHAL
Né en 1973, à Paris
Vit et travaille à Eymoutiers (Haute-Vienne)
www.marcellealix.com/artistes/oeuvres/672/gyan-panchal
Depuis quelques années, le travail de Gyan Panchal a changé. Après avoir préféré des matériaux bruts et lisses composant des formes abstraites, il emploie des objets utilitaires, issus de l’environnement agraire ou littoral — des silos, des caisses, des contenants qui n’affirment pas une forme autonome, mais racontent des usages, des façons pour l’homme d’entrer en relation avec le monde, à la fois pour s’en protéger et pour le pratiquer.
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Œuvre exposée
Le Poumon, 2017
Barque, bleu de travail, résine
311 x 52 x 38 cm
Courtoisie de l'artiste et de la galerie Marcelle Alix, Paris
Le Poumon associe deux interfaces fragmentaires que l’homme emploie pour à la fois entrer en contact et s’isoler du monde. Cette barque, Gyan Panchal l’a découvert envasée dans la mer intérieure du Golfe du Morbihan. Il la nettoie, et ne conserve qu’une fraction de sa coque, qui porte les traces de peintures passées. Au creux de l’embarcation, il place un vêtement ou, plus précisément, le pantalon d’un bleu de travail qu’il coupe en deux. Installée à la verticale, la barque est semblable à une cage thoracique et l’habit à un poumon qui expire, se rétracte, pour mieux inspirer ensuite, rendant ainsi poreuse la frontière qui distingue le dedans du dehors, l’homme du monde.
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<p><strong>GYAN PANCHAL</strong></p>
<p>Né en 1973, à Paris</p>
<p>Vit et travaille à Eymoutiers (Haute-Vienne)</p>
<p><a href="http://www.marcellealix.com/artistes/oeuvres/672/gyan-panchal">www.marcellealix.com/artistes/oeuvres/672/gyan-panchal</a></p>
<p>Depuis quelques années, le travail de Gyan Panchal a changé. Après avoir préféré des matériaux bruts et lisses composant des formes abstraites, il emploie des objets utilitaires, issus de l’environnement agraire ou littoral — des silos, des caisses, des contenants qui n’affirment pas une forme autonome, mais racontent des usages, des façons pour l’homme d’entrer en relation avec le monde, à la fois pour s’en protéger et pour le pratiquer.</p>
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<p><strong>Œuvre exposée</strong></p>
<p><strong><em>Le Poumon,</em></strong><strong> 2017</strong></p>
<p>Barque, bleu de travail, résine</p>
<p>311 x 52 x 38 cm</p>
<p>Courtoisie de l’artiste et de la galerie Marcelle Alix, Paris</p>
<p><em>Le Poumon </em>associe deux interfaces fragmentaires que l’homme emploie pour à la fois entrer en contact et s’isoler du monde. Cette barque, Gyan Panchal l’a découvert envasée dans la mer intérieure du Golfe du Morbihan. Il la nettoie, et ne conserve qu’une fraction de sa coque, qui porte les traces de peintures passées. Au creux de l’embarcation, il place un vêtement ou, plus précisément, le pantalon d’un bleu de travail qu’il coupe en deux. Installée à la verticale, la barque est semblable à une cage thoracique et l’habit à un poumon qui expire, se rétracte, pour mieux inspirer ensuite, rendant ainsi poreuse la frontière qui distingue le dedans du dehors, l’homme du monde.</p>
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GYAN PANCHAL Né en 1973, à Paris Vit et travaille à Eymoutiers (Haute-Vienne) www.marcellealix.com/artistes/oeuvres/672/gyan-panchal Depuis quelques années, le travail de Gyan Panchal a changé. Après avoir préféré des matériaux bruts et lisses composant des formes abstraites, il emploie des objets utilitaires, issus de l’environnement agraire ou littoral — des silos, des caisses, des contenants qui n’affirment pas une forme autonome, mais racontent des usages, des façons pour l’homme d’entrer en relation avec le monde, à la fois pour s’en protéger et pour le pratiquer. _ Œuvre exposée Le Poumon, 2017 Barque, bleu de travail, résine 311 x 52 x 38 cm Courtoisie de l’artiste et de la galerie Marcelle Alix, Paris Le Poumon associe deux interfaces fragmentaires que l’homme emploie pour à la fois entrer en contact et s’isoler du monde. Cette barque, Gyan Panchal l’a découvert envasée dans la mer intérieure du Golfe du Morbihan. Il la nettoie, et ne conserve qu’une fraction de sa coque, qui porte les traces de peintures passées. Au creux de l’embarcation, il place un vêtement ou, plus précisément, le pantalon d’un bleu de travail qu’il coupe en deux. Installée à la verticale, la barque est semblable à une cage thoracique et l’habit à un poumon qui expire, se rétracte, pour mieux inspirer ensuite, rendant ainsi poreuse la frontière qui distingue le dedans du dehors, l’homme du monde.
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