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<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/charbel_web.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft wp-image-13285" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/charbel_web.jpg" alt="Charbel-Joseph H. Boutros" width="200" height="200" /></a>
<strong>—</strong>
<strong>Charbel-joseph H. Boutros
</strong>né en 1981 au Mont Liban, Liban
vit et travaille entre Beyrouth, Liban ; Paris, France et Amsterdam, Pays-Bas
représenté par Grey Noise et la galerie Jaqueline Martins, Sao Paulo
<a href="http://www.charbeljosephageboutros.com">www.charbeljosephageboutros.com</a>
Charbel-joseph H. Boutros est un représentant de la jeune scène artistique libanaise, dont le travail est présenté à l'international. Il a été résident au Pavillon Neuflize OBC, Palais de Tokyo où il a exposé (lors d’un module en 2014 ; et <em>Sueur d’étoile</em>, intervention sur le toit du bâtiment en 2015). Il a présenté son travail, entre autres, à La 12ème Biennale Internationale d'Istanbul, Turquie, au Centre Pompidou – Metz, au CCS Bard College, New York, à la 3ème Biennale de Bahia, Brésil, la 1ère Biennale de Yinchuan, en Chine, au 104 à Paris, au Musée d'art moderne MAM-BA, Salvador au Brésil, au Beirut Art Center, Liban ..
Dans son travail, l'invisibilité est chargée de couches intimes, géographiques et historiques; cherchant des lignes poétiques qui dépassent le domaine des spéculations et des réalités existantes. Né au milieu de la guerre libanaise, son art n’est pas engagé dans une réflexion politique et historique explicite, mais il est hanté par ladite réflexion politique et historique.
<span style="font-size: 13px;">source : <a href="http://www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio.html">www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio</a></span>
<strong>_</strong>
<strong>Œuvres exposées</strong>
<strong><em>Days Under Their Own Sun</em>, depuis 2013</strong>
sept feuilles de calendrier libanais, soleil,
10 x 7 cm chaque
courtesy de l'artiste et de la galerie Grey Noise, Dubaï
<em>Days Under Their Own Sun est une forme de</em> révélation de l’intangible, de la lumière du soleil. L'œuvre se compose de sept feuilles de calendrier libanais, exposées sous différents soleils :
<ul>
<li>Le 04/02/2017 au Mont Liban</li>
<li>Le 25/05/2017 à Paris</li>
<li>Le 10/07/2017 à Amorgos</li>
<li>Le 18/08/2017 à Beyrouth</li>
<li>Le 03/09/2017 à Paris</li>
<li>Le 15/11/2017 à Bruxelles</li>
<li>Le 12/12/2017 à Beyrouth</li>
</ul>
« Chaque jour a été exposé au soleil qui a fait ce jour : le lundi au soleil de lundi, le mardi au soleil de mardi… C’est pour moi une manière de souligner la pluralité des soleils, contre un Soleil unique. C’est une somme de fragments face à une totalité ».
<span style="font-size: 13px;">source : <a href="http://www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio.html">www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio</a></span>
<strong><em>Night Cartography #3</em>, 2017</strong>
masque, cire de bougie votive, rêves, souhaits
dimensions variables
courtesy de l'artiste et de la galerie Grey Noise, Dubaï
<em>Night Cartography #3</em> est un masque de nuit recouvert de cire de bougie, auquel l'artiste associe en sous-titre « rêves et souhaits ». La cire utilisée n’est pas anodine ; il s’agit de la cire de bougies votives dérobées par l’artiste dans l’église de son village natal du Mont Liban, avant leur consumation totale. Le masque, distribué par les compagnies aériennes, utilisé par H. Boutros pendant un mois pour dormir, se retrouve ainsi empreint d'une partie des espoirs des croyants, mêlés aux rêves de l'artiste.
« L'exposition est une géographie au sein de laquelle l'art s'accapare la réalité »
<span style="font-size: 13px;">[1] Stéphanie Saadé, texte de l'exposition de Charbel-joseph H. Boutros à GDM, galerie des multiples, Paris, 2018</span>
<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-medium wp-image-13118" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet-300x225.jpg" alt="" width="300" height="225" /></a>
<strong>—</strong>
<strong>Stéphanie Saadé et Charbel-joseph H. Boutros
<em>When Two Artists Meet</em>, 2015</strong>
cheveu de l’artiste Stéphanie Saadé,
cheveu de l’artiste Charbel-joseph H. Boutros
courtesy des artistes et de la galerie Anne Barrault, Paris
<em>When Two Artists Meet</em> est une œuvre de Stéphanie Saadé, produite avec Charbel-joseph H. Boutros. Les deux artistes ont noués l'un avec l'autre un de leur cheveu encore noirs, symbolisant ainsi leur amour. Cette œuvre, à la fois simple et fragile, interroge la résistance de la matière et la temporalité, mais aussi la mémoire. Quel instant faire durer ? Quel souvenir conserver ?
<strong>—</strong>
—
Charbel-joseph H. Boutros
né en 1981 au Mont Liban, Liban
vit et travaille entre Beyrouth, Liban ; Paris, France et Amsterdam, Pays-Bas
représenté par Grey Noise et la galerie Jaqueline Martins, Sao Paulo
www.charbeljosephageboutros.com
Charbel-joseph H. Boutros est un représentant de la jeune scène artistique libanaise, dont le travail est présenté à l'international. Il a été résident au Pavillon Neuflize OBC, Palais de Tokyo où il a exposé (lors d’un module en 2014 ; et Sueur d’étoile, intervention sur le toit du bâtiment en 2015). Il a présenté son travail, entre autres, à La 12ème Biennale Internationale d'Istanbul, Turquie, au Centre Pompidou – Metz, au CCS Bard College, New York, à la 3ème Biennale de Bahia, Brésil, la 1ère Biennale de Yinchuan, en Chine, au 104 à Paris, au Musée d'art moderne MAM-BA, Salvador au Brésil, au Beirut Art Center, Liban ..
Dans son travail, l'invisibilité est chargée de couches intimes, géographiques et historiques; cherchant des lignes poétiques qui dépassent le domaine des spéculations et des réalités existantes. Né au milieu de la guerre libanaise, son art n’est pas engagé dans une réflexion politique et historique explicite, mais il est hanté par ladite réflexion politique et historique.
source : www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio
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Œuvres exposées
Days Under Their Own Sun, depuis 2013
sept feuilles de calendrier libanais, soleil,
10 x 7 cm chaque
courtesy de l'artiste et de la galerie Grey Noise, Dubaï
Days Under Their Own Sun est une forme de révélation de l’intangible, de la lumière du soleil. L'œuvre se compose de sept feuilles de calendrier libanais, exposées sous différents soleils :
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<p><strong>—</strong><br />
<strong>Charbel-joseph H. Boutros<br />
</strong>né en 1981 au Mont Liban, Liban<br />
vit et travaille entre Beyrouth, Liban ; Paris, France et Amsterdam, Pays-Bas<br />
représenté par Grey Noise et la galerie Jaqueline Martins, Sao Paulo<br />
<a href="http://www.charbeljosephageboutros.com">www.charbeljosephageboutros.com</a></p>
<p>Charbel-joseph H. Boutros est un représentant de la jeune scène artistique libanaise, dont le travail est présenté à l’international. Il a été résident au Pavillon Neuflize OBC, Palais de Tokyo où il a exposé (lors d’un module en 2014 ; et <em>Sueur d’étoile</em>, intervention sur le toit du bâtiment en 2015). Il a présenté son travail, entre autres, à La 12ème Biennale Internationale d’Istanbul, Turquie, au Centre Pompidou – Metz, au CCS Bard College, New York, à la 3ème Biennale de Bahia, Brésil, la 1ère Biennale de Yinchuan, en Chine, au 104 à Paris, au Musée d’art moderne MAM-BA, Salvador au Brésil, au Beirut Art Center, Liban ..</p>
<p>Dans son travail, l’invisibilité est chargée de couches intimes, géographiques et historiques; cherchant des lignes poétiques qui dépassent le domaine des spéculations et des réalités existantes. Né au milieu de la guerre libanaise, son art n’est pas engagé dans une réflexion politique et historique explicite, mais il est hanté par ladite réflexion politique et historique.</p>
<p><span style="font-size: 13px;">source : <a href="http://www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio.html">www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio</a></span><br />
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<p><strong>Œuvres exposées</strong></p>
<p><strong><em>Days Under Their Own Sun</em>, depuis 2013</strong><br />
sept feuilles de calendrier libanais, soleil,<br />
10 x 7 cm chaque<br />
courtesy de l’artiste et de la galerie Grey Noise, Dubaï</p>
<p><em>Days Under Their Own Sun est une forme de</em> révélation de l’intangible, de la lumière du soleil. L’œuvre se compose de sept feuilles de calendrier libanais, exposées sous différents soleils :</p>
<ul>
<li>Le 04/02/2017 au Mont Liban</li>
<li>Le 25/05/2017 à Paris</li>
<li>Le 10/07/2017 à Amorgos</li>
<li>Le 18/08/2017 à Beyrouth</li>
<li>Le 03/09/2017 à Paris</li>
<li>Le 15/11/2017 à Bruxelles</li>
<li>Le 12/12/2017 à Beyrouth</li>
</ul>
<p>« Chaque jour a été exposé au soleil qui a fait ce jour : le lundi au soleil de lundi, le mardi au soleil de mardi… C’est pour moi une manière de souligner la pluralité des soleils, contre un Soleil unique. C’est une somme de fragments face à une totalité ».</p>
<p><span style="font-size: 13px;">source : <a href="http://www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio.html">www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio</a></span></p>
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<p><strong><em>Night Cartography #3</em>, 2017</strong><br />
masque, cire de bougie votive, rêves, souhaits<br />
dimensions variables<br />
courtesy de l’artiste et de la galerie Grey Noise, Dubaï</p>
<p><em>Night Cartography #3</em> est un masque de nuit recouvert de cire de bougie, auquel l’artiste associe en sous-titre « rêves et souhaits ». La cire utilisée n’est pas anodine ; il s’agit de la cire de bougies votives dérobées par l’artiste dans l’église de son village natal du Mont Liban, avant leur consumation totale. Le masque, distribué par les compagnies aériennes, utilisé par H. Boutros pendant un mois pour dormir, se retrouve ainsi empreint d’une partie des espoirs des croyants, mêlés aux rêves de l’artiste.</p>
<p>« L’exposition est une géographie au sein de laquelle l’art s’accapare la réalité »</p>
<p><span style="font-size: 13px;">[1] Stéphanie Saadé, texte de l’exposition de Charbel-joseph H. Boutros à GDM, galerie des multiples, Paris, 2018</span></p>
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<p><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-medium wp-image-13118" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet-300x225.jpg" alt="" width="300" height="225" srcset="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet-300x225.jpg 300w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet-768x576.jpg 768w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet-800x600.jpg 800w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/LaCriee_Saade_H.boutros_WhenTwoArtistsMeet.jpg 960w" sizes="(max-width: 300px) 100vw, 300px" /></a></p>
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<strong>Stéphanie Saadé et Charbel-joseph H. Boutros<br />
<em>When Two Artists Meet</em>, 2015</strong><br />
cheveu de l’artiste Stéphanie Saadé,<br />
cheveu de l’artiste Charbel-joseph H. Boutros<br />
courtesy des artistes et de la galerie Anne Barrault, Paris</p>
<p><em>When Two Artists Meet</em> est une œuvre de Stéphanie Saadé, produite avec Charbel-joseph H. Boutros. Les deux artistes ont noués l’un avec l’autre un de leur cheveu encore noirs, symbolisant ainsi leur amour. Cette œuvre, à la fois simple et fragile, interroge la résistance de la matière et la temporalité, mais aussi la mémoire. Quel instant faire durer ? Quel souvenir conserver ?</p>
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— Charbel-joseph H. Boutros est un représentant de la jeune scène artistique libanaise, dont le travail est présenté à l’international. Il a été résident au Pavillon Neuflize OBC, Palais de Tokyo où il a exposé (lors d’un module en 2014 ; et Sueur d’étoile, intervention sur le toit du bâtiment en 2015). Il a présenté son travail, entre autres, à La 12ème Biennale Internationale d’Istanbul, Turquie, au Centre Pompidou – Metz, au CCS Bard College, New York, à la 3ème Biennale de Bahia, Brésil, la 1ère Biennale de Yinchuan, en Chine, au 104 à Paris, au Musée d’art moderne MAM-BA, Salvador au Brésil, au Beirut Art Center, Liban .. Dans son travail, l’invisibilité est chargée de couches intimes, géographiques et historiques; cherchant des lignes poétiques qui dépassent le domaine des spéculations et des réalités existantes. Né au milieu de la guerre libanaise, son art n’est pas engagé dans une réflexion politique et historique explicite, mais il est hanté par ladite réflexion politique et historique. source : www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio Œuvres exposées Days Under Their Own Sun, depuis 2013 Days Under Their Own Sun est une forme de révélation de l’intangible, de la lumière du soleil. L’œuvre se compose de sept feuilles de calendrier libanais, exposées sous différents soleils :
« Chaque jour a été exposé au soleil qui a fait ce jour : le lundi au soleil de lundi, le mardi au soleil de mardi… C’est pour moi une manière de souligner la pluralité des soleils, contre un Soleil unique. C’est une somme de fragments face à une totalité ». source : www.charbeljosephageboutros.com/Site/cjhb_text_bio
Night Cartography #3, 2017 Night Cartography #3 est un masque de nuit recouvert de cire de bougie, auquel l’artiste associe en sous-titre « rêves et souhaits ». La cire utilisée n’est pas anodine ; il s’agit de la cire de bougies votives dérobées par l’artiste dans l’église de son village natal du Mont Liban, avant leur consumation totale. Le masque, distribué par les compagnies aériennes, utilisé par H. Boutros pendant un mois pour dormir, se retrouve ainsi empreint d’une partie des espoirs des croyants, mêlés aux rêves de l’artiste. « L’exposition est une géographie au sein de laquelle l’art s’accapare la réalité » [1] Stéphanie Saadé, texte de l’exposition de Charbel-joseph H. Boutros à GDM, galerie des multiples, Paris, 2018
— When Two Artists Meet est une œuvre de Stéphanie Saadé, produite avec Charbel-joseph H. Boutros. Les deux artistes ont noués l’un avec l’autre un de leur cheveu encore noirs, symbolisant ainsi leur amour. Cette œuvre, à la fois simple et fragile, interroge la résistance de la matière et la temporalité, mais aussi la mémoire. Quel instant faire durer ? Quel souvenir conserver ? —
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