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title | String Larissa Fassler, Hallesches Tor, 2005 |
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<strong>Hallesches Tor</strong>, 2005
Bois, métal, réveil, son, 200 x 110 x 60 cm
Courtesy galerie Jérôme Poggi, Paris
—
Née en 1975 à Vancouver, Canada.
Larissa Fassler vit et travaille à Berlin, Allemagne.
Elle est représentée en France par la galerie Jérôme Poggi, Paris.
Le travail de Larissa Fassler entretient un rapport évident avec l'urbanisme et l'architecture. À travers l'utilisation de divers médiums (dessins, sculptures, installations), l'artiste questionne la place de l'homme dans l'environnement urbain et les constructions qui lui sont propres : stations de métro, galeries souterraines, couloirs. L'artiste montre principalement des lieux de passage, des espaces qui déterminent nos mouvements et déplacements dans la ville. À l'aide de relevés topographiques qu'elle réalise elle-même, en utilisant parfois son propre corps comme instrument de mesure, Larissa Fassler crée des "sculptures-maquettes" de grandes dimensions comme des anatomies de l'espace urbain.
—
<strong>Hallesches Tor</strong> est une maquette d'un passage qui relie les stations de métro du réseau berlinois. Ici, l'espace urbain est souterrain. Le sol est creusé : les différents couloirs apparaissent en positif, laissant voir une strate habituellement invisible.
Le tunnel, et le trafic humain qu'il évoque, sont transformés en un objet sculptural. A chaque extrémité du tunnel, une horloge digitale annonce les arrivées et départs des métros. De l'intérieur du tunnel émanent différents sons : la musique continue des musiciens de rues qui jouent dans le métro, ainsi que les pas des usagers.
Hallesches Tor, 2005
Bois, métal, réveil, son, 200 x 110 x 60 cm
Courtesy galerie Jérôme Poggi, Paris
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Née en 1975 à Vancouver, Canada.
Larissa Fassler vit et travaille à Berlin, Allemagne.
Elle est représentée en France par la galerie Jérôme Poggi, Paris.
Le travail de Larissa Fassler entretient un rapport évident avec l'urbanisme et l'architecture. À travers l'utilisation de divers médiums (dessins, sculptures, installations), l'artiste questionne la place de l'homme dans l'environnement urbain et les constructions qui lui sont propres : stations de métro, galeries souterraines, couloirs. L'artiste montre principalement des lieux de passage, des espaces qui déterminent nos mouvements et déplacements dans la ville. À l'aide de relevés topographiques qu'elle réalise elle-même, en utilisant parfois son propre corps comme instrument de mesure, Larissa Fassler crée des "sculptures-maquettes" de grandes dimensions comme des anatomies de l'espace urbain.
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Hallesches Tor est une maquette d'un passage qui relie les stations de métro du réseau berlinois. Ici, l'espace urbain est souterrain. Le sol est creusé : les différents couloirs apparaissent en positif, laissant voir une strate habituellement invisible.
Le tunnel, et le trafic humain qu'il évoque, sont transformés en un objet sculptural. A chaque extrémité du tunnel, une horloge digitale annonce les arrivées et départs des métros. De l'intérieur du tunnel émanent différents sons : la musique continue des musiciens de rues qui jouent dans le métro, ainsi que les pas des usagers.
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<p><strong>Hallesches Tor</strong>, 2005<br />
Bois, métal, réveil, son, 200 x 110 x 60 cm<br />
Courtesy galerie Jérôme Poggi, Paris</p>
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<p>Née en 1975 à Vancouver, Canada.<br />
Larissa Fassler vit et travaille à Berlin, Allemagne.<br />
Elle est représentée en France par la galerie Jérôme Poggi, Paris.</p>
<p>Le travail de Larissa Fassler entretient un rapport évident avec l’urbanisme et l’architecture. À travers l’utilisation de divers médiums (dessins, sculptures, installations), l’artiste questionne la place de l’homme dans l’environnement urbain et les constructions qui lui sont propres : stations de métro, galeries souterraines, couloirs. L’artiste montre principalement des lieux de passage, des espaces qui déterminent nos mouvements et déplacements dans la ville. À l’aide de relevés topographiques qu’elle réalise elle-même, en utilisant parfois son propre corps comme instrument de mesure, Larissa Fassler crée des « sculptures-maquettes » de grandes dimensions comme des anatomies de l’espace urbain.</p>
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<p><strong>Hallesches Tor</strong> est une maquette d’un passage qui relie les stations de métro du réseau berlinois. Ici, l’espace urbain est souterrain. Le sol est creusé : les différents couloirs apparaissent en positif, laissant voir une strate habituellement invisible.</p>
<p>Le tunnel, et le trafic humain qu’il évoque, sont transformés en un objet sculptural. A chaque extrémité du tunnel, une horloge digitale annonce les arrivées et départs des métros. De l’intérieur du tunnel émanent différents sons : la musique continue des musiciens de rues qui jouent dans le métro, ainsi que les pas des usagers.</p>
Hallesches Tor, 2005 — Née en 1975 à Vancouver, Canada. Le travail de Larissa Fassler entretient un rapport évident avec l’urbanisme et l’architecture. À travers l’utilisation de divers médiums (dessins, sculptures, installations), l’artiste questionne la place de l’homme dans l’environnement urbain et les constructions qui lui sont propres : stations de métro, galeries souterraines, couloirs. L’artiste montre principalement des lieux de passage, des espaces qui déterminent nos mouvements et déplacements dans la ville. À l’aide de relevés topographiques qu’elle réalise elle-même, en utilisant parfois son propre corps comme instrument de mesure, Larissa Fassler crée des « sculptures-maquettes » de grandes dimensions comme des anatomies de l’espace urbain. — Hallesches Tor est une maquette d’un passage qui relie les stations de métro du réseau berlinois. Ici, l’espace urbain est souterrain. Le sol est creusé : les différents couloirs apparaissent en positif, laissant voir une strate habituellement invisible. Le tunnel, et le trafic humain qu’il évoque, sont transformés en un objet sculptural. A chaque extrémité du tunnel, une horloge digitale annonce les arrivées et départs des métros. De l’intérieur du tunnel émanent différents sons : la musique continue des musiciens de rues qui jouent dans le métro, ainsi que les pas des usagers. |
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