id | Integer 4031 |
date | String 2015-12-17 15:25:41 |
slug | String katincka-bock-couler-tas-de-pierre |
title | String Katinka Bock, Couler un tas de pierre |
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<p style="text-align: justify;">Née en 1976 à Francfort-sur-le-Main, Allemagne.
Vit et travaille à Paris, France.</p>
<p style="text-align: justify;"><a href="http://www.galeriewolff.com/artists/katinka-bock">Galerie Jocelyn Wolff- Katinka Bock</a></p>
<p style="text-align: justify;">Qu’elle intervienne dans le paysage ou conçoive des formes, des objets ou des installations dans des espaces intérieurs, <strong>Katinka Bock</strong> s’intéresse aux spécificités d’un espace, à ses usages passés ou présents, aux structures historiques, sociales, architecturales ou géologiques des lieux dans lesquels elle s’inscrit. L’artiste travaille des matériaux comme la céramique, la pierre calcaire, la terre non-cuite, ainsi que des objets du quotidien. Elle renverse le langage sculptural pour en exposer la fragilité, parfois la cassure. L’eau est aussi une des «matières» fétiche de l’artiste, qu’elle emploie pour souligner la solidarité entre ce qui est visible et ce qui ne l’est pas, entre l’ici et l’ailleurs.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>__</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Œuvre exposée</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive size-medium wp-image-4043 alignnone" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1-300x240.jpg" alt="Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1" width="300" height="240" /></a></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><em>Couler un tas de pi</em><em>erre</em></strong>,2007</p>
<p style="text-align: justify;">8mm transféré sur dvd, vidéo de 2'43, noir et blanc, muet.</p>
<p style="text-align: justify;">Courtesy de l'artiste et de la Galerie Jocelyn Wolff, Paris</p>
<p style="text-align: justify;">Le film <em>Couler un tas de pierre</em> a été réalisé lors d’une résidence de Katinka Bock au centre d’art La Synagogue de Delme (Lorraine) en 2007. Il documente en super 8 une action non spectaculaire qui apparaît comme une sculpture dans un espace ouvert par une disparition, celui du naufrage lent d’une barque remplie de pierres au milieu d’une rivière. Katinka Bock met en scène la rencontre de la résistance du poids et de la densité : l'effet produit est étrange et paradoxal car les pierres flottent, niant momentanément le principe de pesanteur. À travers des plans fixes, l’artiste propose une confrontation esthétique du fluide et du minéral, un mélange de l’onde et de la forme.</p>
Née en 1976 à Francfort-sur-le-Main, Allemagne. Vit et travaille à Paris, France. Galerie Jocelyn Wolff- Katinka Bock Qu’elle intervienne dans le paysage ou conçoive des formes, des objets ou des installations dans des espaces intérieurs, Katinka Bock s’intéresse aux spécificités d’un espace, à ses usages passés ou présents, aux structures historiques, sociales, architecturales ou géologiques des lieux dans lesquels elle s’inscrit. L’artiste travaille des matériaux comme la céramique, la pierre calcaire, la terre non-cuite, ainsi que des objets du quotidien. Elle renverse le langage sculptural pour en exposer la fragilité, parfois la cassure. L’eau est aussi une des «matières» fétiche de l’artiste, qu’elle emploie pour souligner la solidarité entre ce qui est visible et ce qui ne l’est pas, entre l’ici et l’ailleurs. __ Œuvre exposée Couler un tas de pierre,2007 8mm transféré sur dvd, vidéo de 2'43, noir et blanc, muet. Courtesy de l'artiste et de la Galerie Jocelyn Wolff, Paris Le film Couler un tas de pierre a été réalisé lors d’une résidence de Katinka Bock au centre d’art La Synagogue de Delme (Lorraine) en 2007. Il documente en super 8 une action non spectaculaire qui apparaît comme une sculpture dans un espace ouvert par une disparition, celui du naufrage lent d’une barque remplie de pierres au milieu d’une rivière. Katinka Bock met en scène la rencontre de la résistance du poids et de la densité : l'effet produit est étrange et paradoxal car les pierres flottent, niant momentanément le principe de pesanteur. À travers des plans fixes, l’artiste propose une confrontation esthétique du fluide et du minéral, un mélange de l’onde et de la forme. |
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<p style="text-align: justify;">Née en 1976 à Francfort-sur-le-Main, Allemagne.<br />
Vit et travaille à Paris, France.</p>
<p style="text-align: justify;"><a href="http://www.galeriewolff.com/artists/katinka-bock">Galerie Jocelyn Wolff- Katinka Bock</a></p>
<p style="text-align: justify;">Qu’elle intervienne dans le paysage ou conçoive des formes, des objets ou des installations dans des espaces intérieurs, <strong>Katinka Bock</strong> s’intéresse aux spécificités d’un espace, à ses usages passés ou présents, aux structures historiques, sociales, architecturales ou géologiques des lieux dans lesquels elle s’inscrit. L’artiste travaille des matériaux comme la céramique, la pierre calcaire, la terre non-cuite, ainsi que des objets du quotidien. Elle renverse le langage sculptural pour en exposer la fragilité, parfois la cassure. L’eau est aussi une des «matières» fétiche de l’artiste, qu’elle emploie pour souligner la solidarité entre ce qui est visible et ce qui ne l’est pas, entre l’ici et l’ailleurs.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>__</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Œuvre exposée</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="img-thumbnail img-responsive size-medium wp-image-4043 alignnone" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1-300x240.jpg" alt="Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1" width="300" height="240" srcset="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1-300x240.jpg 300w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1-1024x819.jpg 1024w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1-750x600.jpg 750w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2015/12/Katinka_Kock-couler_un_tas_de_pierre1.jpg 2008w" sizes="(max-width: 300px) 100vw, 300px" /></a></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><em>Couler un tas de pi</em><em>erre</em></strong>,2007</p>
<p style="text-align: justify;">8mm transféré sur dvd, vidéo de 2’43, noir et blanc, muet.</p>
<p style="text-align: justify;">Courtesy de l’artiste et de la Galerie Jocelyn Wolff, Paris</p>
<p style="text-align: justify;">Le film <em>Couler un tas de pierre</em> a été réalisé lors d’une résidence de Katinka Bock au centre d’art La Synagogue de Delme (Lorraine) en 2007. Il documente en super 8 une action non spectaculaire qui apparaît comme une sculpture dans un espace ouvert par une disparition, celui du naufrage lent d’une barque remplie de pierres au milieu d’une rivière. Katinka Bock met en scène la rencontre de la résistance du poids et de la densité : l’effet produit est étrange et paradoxal car les pierres flottent, niant momentanément le principe de pesanteur. À travers des plans fixes, l’artiste propose une confrontation esthétique du fluide et du minéral, un mélange de l’onde et de la forme.</p>
Née en 1976 à Francfort-sur-le-Main, Allemagne. Galerie Jocelyn Wolff- Katinka Bock Qu’elle intervienne dans le paysage ou conçoive des formes, des objets ou des installations dans des espaces intérieurs, Katinka Bock s’intéresse aux spécificités d’un espace, à ses usages passés ou présents, aux structures historiques, sociales, architecturales ou géologiques des lieux dans lesquels elle s’inscrit. L’artiste travaille des matériaux comme la céramique, la pierre calcaire, la terre non-cuite, ainsi que des objets du quotidien. Elle renverse le langage sculptural pour en exposer la fragilité, parfois la cassure. L’eau est aussi une des «matières» fétiche de l’artiste, qu’elle emploie pour souligner la solidarité entre ce qui est visible et ce qui ne l’est pas, entre l’ici et l’ailleurs. __ Œuvre exposée Couler un tas de pierre,2007 8mm transféré sur dvd, vidéo de 2’43, noir et blanc, muet. Courtesy de l’artiste et de la Galerie Jocelyn Wolff, Paris Le film Couler un tas de pierre a été réalisé lors d’une résidence de Katinka Bock au centre d’art La Synagogue de Delme (Lorraine) en 2007. Il documente en super 8 une action non spectaculaire qui apparaît comme une sculpture dans un espace ouvert par une disparition, celui du naufrage lent d’une barque remplie de pierres au milieu d’une rivière. Katinka Bock met en scène la rencontre de la résistance du poids et de la densité : l’effet produit est étrange et paradoxal car les pierres flottent, niant momentanément le principe de pesanteur. À travers des plans fixes, l’artiste propose une confrontation esthétique du fluide et du minéral, un mélange de l’onde et de la forme. |
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