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title | String Mariana Castillo Deball |
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<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/mariana-castillo-debal-nb.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignnone size-medium wp-image-7051" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/mariana-castillo-debal-nb-300x200.jpg" alt="mariana-castillo-debal-nb" width="300" height="200" /></a>
Née en 1975 à Mexico, Mexique
Vit et travaille à Berlin, Allemagne
Représentée par la galerie Barbara Wien, Berlin
<a href="http://www.barbarawien.de/artist.php?artist=8">www.barbarawien.de</a>
Souvent assimilé à celui d'un archéologue, son travail tente de concilier tradition conceptuelle et
esthétique innovante. Elle s'intéresse particulièrement aux relations entre art, histoire et
historiographie et interroge la manière dont les institutions, bibliothèques ou musées, constituent une
classification symbolique du monde et une représentation organisée de la production culturelle, au
travers de collections, de catalogues, d'archives, etc.
_
<strong>Œuvres exposées</strong>
<strong>Do Ut Des (I give that you may give back)</strong>, 2009
3 livres percés (National Gallery of London, Koninklijk Museum voor Schone Kunsten Te Antwerpen et Art institute of Chicago)
31 x 24,5 cm chacun, socles en chêne 25 x 25 x 130 cm chacun
Courtesy l'artiste et Barbara Wien, Berlin
<em>Do ut des</em> se concentre sur la figure oubliée et pourtant inévitable qu'est le spectateur du Musée. Cette œuvre est basée sur <em>Les musées du monde</em>, une collection de livres d'histoire de l'art des années 1970 crée par le designer brésilien Eugênio Hirsch, chacun consacré à un musée différent dans le monde. Dans chaque livre se trouve un collage où l'on peut observer la proportion entre la taille des œuvres et les spectateurs : c'est l'une des rares fois où les spectateurs sont représentés et donc pris en compte dans un livre d'art. Les livres ont été modifiés avec des perforations de forage, représentant le cheminement (physique mais aussi mental) emprunté par le visiteur, la piste invisible de leurs lectures et opinions. Les livres sont affichés sur la page avec le collage; Les perforations génèrent un motif symétrique.
Née en 1975 à Mexico, Mexique
Vit et travaille à Berlin, Allemagne
Représentée par la galerie Barbara Wien, Berlin
www.barbarawien.de
Souvent assimilé à celui d'un archéologue, son travail tente de concilier tradition conceptuelle et
esthétique innovante. Elle s'intéresse particulièrement aux relations entre art, histoire et
historiographie et interroge la manière dont les institutions, bibliothèques ou musées, constituent une
classification symbolique du monde et une représentation organisée de la production culturelle, au
travers de collections, de catalogues, d'archives, etc.
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Œuvres exposées
Do Ut Des (I give that you may give back), 2009
3 livres percés (National Gallery of London, Koninklijk Museum voor Schone Kunsten Te Antwerpen et Art institute of Chicago)
31 x 24,5 cm chacun, socles en chêne 25 x 25 x 130 cm chacun
Courtesy l'artiste et Barbara Wien, Berlin
Do ut des se concentre sur la figure oubliée et pourtant inévitable qu'est le spectateur du Musée. Cette œuvre est basée sur Les musées du monde, une collection de livres d'histoire de l'art des années 1970 crée par le designer brésilien Eugênio Hirsch, chacun consacré à un musée différent dans le monde. Dans chaque livre se trouve un collage où l'on peut observer la proportion entre la taille des œuvres et les spectateurs : c'est l'une des rares fois où les spectateurs sont représentés et donc pris en compte dans un livre d'art. Les livres ont été modifiés avec des perforations de forage, représentant le cheminement (physique mais aussi mental) emprunté par le visiteur, la piste invisible de leurs lectures et opinions. Les livres sont affichés sur la page avec le collage; Les perforations génèrent un motif symétrique.
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<p>Née en 1975 à Mexico, Mexique<br />
Vit et travaille à Berlin, Allemagne<br />
Représentée par la galerie Barbara Wien, Berlin<br />
<a href="http://www.barbarawien.de/artist.php?artist=8">www.barbarawien.de</a></p>
<p>Souvent assimilé à celui d’un archéologue, son travail tente de concilier tradition conceptuelle et<br />
esthétique innovante. Elle s’intéresse particulièrement aux relations entre art, histoire et<br />
historiographie et interroge la manière dont les institutions, bibliothèques ou musées, constituent une<br />
classification symbolique du monde et une représentation organisée de la production culturelle, au<br />
travers de collections, de catalogues, d’archives, etc.</p>
<p>_</p>
<p><strong>Œuvres exposées</strong></p>
<p><strong>Do Ut Des (I give that you may give back)</strong>, 2009<br />
3 livres percés (National Gallery of London, Koninklijk Museum voor Schone Kunsten Te Antwerpen et Art institute of Chicago)<br />
31 x 24,5 cm chacun, socles en chêne 25 x 25 x 130 cm chacun<br />
Courtesy l’artiste et Barbara Wien, Berlin</p>
<p><em>Do ut des</em> se concentre sur la figure oubliée et pourtant inévitable qu’est le spectateur du Musée. Cette œuvre est basée sur <em>Les musées du monde</em>, une collection de livres d’histoire de l’art des années 1970 crée par le designer brésilien Eugênio Hirsch, chacun consacré à un musée différent dans le monde. Dans chaque livre se trouve un collage où l’on peut observer la proportion entre la taille des œuvres et les spectateurs : c’est l’une des rares fois où les spectateurs sont représentés et donc pris en compte dans un livre d’art. Les livres ont été modifiés avec des perforations de forage, représentant le cheminement (physique mais aussi mental) emprunté par le visiteur, la piste invisible de leurs lectures et opinions. Les livres sont affichés sur la page avec le collage; Les perforations génèrent un motif symétrique.</p>
Née en 1975 à Mexico, Mexique Souvent assimilé à celui d’un archéologue, son travail tente de concilier tradition conceptuelle et _ Œuvres exposées Do Ut Des (I give that you may give back), 2009 Do ut des se concentre sur la figure oubliée et pourtant inévitable qu’est le spectateur du Musée. Cette œuvre est basée sur Les musées du monde, une collection de livres d’histoire de l’art des années 1970 crée par le designer brésilien Eugênio Hirsch, chacun consacré à un musée différent dans le monde. Dans chaque livre se trouve un collage où l’on peut observer la proportion entre la taille des œuvres et les spectateurs : c’est l’une des rares fois où les spectateurs sont représentés et donc pris en compte dans un livre d’art. Les livres ont été modifiés avec des perforations de forage, représentant le cheminement (physique mais aussi mental) emprunté par le visiteur, la piste invisible de leurs lectures et opinions. Les livres sont affichés sur la page avec le collage; Les perforations génèrent un motif symétrique. |
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