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<strong><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/BASMAALSH.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft wp-image-13171 size-thumbnail" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/03/BASMAALSH-150x150.jpg" alt="Basma Alsharif - ©2019 Video Data Bank" width="150" height="150" /></a></strong>
<strong>—</strong>
<strong>Basma Alsharif</strong>
née en 1983 au Koweit
vit et travaille en tant que nomade
représentée par la galerie Imane Fares, Paris
<a href="http://imanefares.com/Artistes/basma-alsharif/">imanefares.com</a>
Diplômée de l’Université des Beaux-arts de l’Illinois à Chicago en 2007, Basma Alsharif développe une pratique nomade entre Chicago, le Caire, Beyrouth, Sharjah, Amman, la bande de Gaza et Paris. Son travail a été exposé à la Biennale de Whitney à New-York, aux Rencontres d'Arles, au Palais de Tokyo à Paris, au Salon de Jérusalem, au Festival du film documentaire Yamagata au Japon, à la Berlinale en Allemagne, à la Biennale de Sharjah aux Émirats Arabes Unis, à Videobrasil et à Manifesta 8 en Espagne. Elle est aujourd'hui basée à Los Angeles.
Basma Alsharif déploie des systèmes de narration, entre fiction et réalité, qui s'apparentent simultanément à un récit et à une recherche. Elle s'intéresse aux paysages géopolitiques et environnements naturels en mutation, et notamment à la transmission de l'histoire de la Palestine, d'où sont originaires ses parents. Son premier long métrage a été réalisé en 2017, il s'intitule <em>Ouroboros,</em> du nom de l'un des plus vieux symboles ésotériques du monde, un serpent qui se mord la queue. Le synopsis du film est le suivant : « Un hommage à la bande de Gaza basé sur l’idée du retour éternel. Un voyage, qui suit un seul homme à travers cinq paysages différents, marquant le début comme la fin, de sorte à oublier sur la route l’échec de la civilisation ».
source : galerie Imane Fares
<strong>_</strong>
<strong>Œuvre exposée</strong>
<strong><em>L'Histoire du Lait et du Miel</em>, 2011</strong>
vidéo, couleur, 9 min 45 sec
courtesy de l’artiste et de la galerie Imane Farès, Paris
Le film <em>L'Histoire du lait et du miel</em> (2011) dit toute la complexité du monde et du processus de création. Dans l'œuvre projetée à La Criée, il est question de cinéma, d'histoires intimes et de la difficulté à faire récit dans un contexte géopolitique complexe. Un narrateur raconte son projet de réaliser une histoire d'amour fictive au Liban, mais l'expérience subjective individuelle est confrontée au paysage politique et à la mémoire collective. On comprend son incapacité à faire aboutir son histoire, qui évolue vers une forme d'expérimentation. Le montage est un collage d'images, de documents d'archives, de textes et de sous-titres. La confusion des langages s'accentuent avec les voix et la musique, puisée dans le répertoire populaire, du cinéma ou des chansons d'amour du Moyen-Orient. Le film est une mise en abîme de plusieurs écrans et récits, une poésie visuelle ancrée dans une réalité historique et politique, qui s'écrit à la fois au singulier et au pluriel. Le film est l'histoire du pays du lait et du miel.
Cette vidéo est parfois accompagnée d'une installation de dessins et de soixante-six photographies réparties en trois séries : <em>Les Sauvages</em>, <em>Corniche Beirut</em> , <em>Original Family Archives</em>. Ceux-ci sont évoqués dans la vidéo.
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Basma Alsharif
née en 1983 au Koweit
vit et travaille en tant que nomade
représentée par la galerie Imane Fares, Paris
imanefares.com
Diplômée de l’Université des Beaux-arts de l’Illinois à Chicago en 2007, Basma Alsharif développe une pratique nomade entre Chicago, le Caire, Beyrouth, Sharjah, Amman, la bande de Gaza et Paris. Son travail a été exposé à la Biennale de Whitney à New-York, aux Rencontres d'Arles, au Palais de Tokyo à Paris, au Salon de Jérusalem, au Festival du film documentaire Yamagata au Japon, à la Berlinale en Allemagne, à la Biennale de Sharjah aux Émirats Arabes Unis, à Videobrasil et à Manifesta 8 en Espagne. Elle est aujourd'hui basée à Los Angeles.
Basma Alsharif déploie des systèmes de narration, entre fiction et réalité, qui s'apparentent simultanément à un récit et à une recherche. Elle s'intéresse aux paysages géopolitiques et environnements naturels en mutation, et notamment à la transmission de l'histoire de la Palestine, d'où sont originaires ses parents. Son premier long métrage a été réalisé en 2017, il s'intitule Ouroboros, du nom de l'un des plus vieux symboles ésotériques du monde, un serpent qui se mord la queue. Le synopsis du film est le suivant : « Un hommage à la bande de Gaza basé sur l’idée du retour éternel. Un voyage, qui suit un seul homme à travers cinq paysages différents, marquant le début comme la fin, de sorte à oublier sur la route l’échec de la civilisation ».
source : galerie Imane Fares
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Œuvre exposée
L'Histoire du Lait et du Miel, 2011
vidéo, couleur, 9 min 45 sec
courtesy de l’artiste et de la galerie Imane Farès, Paris
Le film L'Histoire du lait et du miel (2011) dit toute la complexité du monde et du processus de création. Dans l'œuvre projetée à La Criée, il est question de cinéma, d'histoires intimes et de la difficulté à faire récit dans un contexte géopolitique complexe. Un narrateur raconte son projet de réaliser une histoire d'amour fictive au Liban, mais l'expérience subjective individuelle est confrontée au paysage politique et à la mémoire collective. On comprend son incapacité à faire aboutir son histoire, qui évolue vers une forme d'expérimentation. Le montage est un collage d'images, de documents d'archives, de textes et de sous-titres. La confusion des langages s'accentuent avec les voix et la musique, puisée dans le répertoire populaire, du cinéma ou des chansons d'amour du Moyen-Orient. Le film est une mise en abîme de plusieurs écrans et récits, une poésie visuelle ancrée dans une réalité historique et politique, qui s'écrit à la fois au singulier et au pluriel. Le film est l'histoire du pays du lait et du miel.
Cette vidéo est parfois accompagnée d'une installation de dessins et de soixante-six photographies réparties en trois séries : Les Sauvages, Corniche Beirut , Original Family Archives. Ceux-ci sont évoqués dans la vidéo.
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<strong>Basma Alsharif</strong><br />
née en 1983 au Koweit<br />
vit et travaille en tant que nomade<br />
représentée par la galerie Imane Fares, Paris<br />
<a href="http://imanefares.com/Artistes/basma-alsharif/">imanefares.com</a></p>
<p>Diplômée de l’Université des Beaux-arts de l’Illinois à Chicago en 2007, Basma Alsharif développe une pratique nomade entre Chicago, le Caire, Beyrouth, Sharjah, Amman, la bande de Gaza et Paris. Son travail a été exposé à la Biennale de Whitney à New-York, aux Rencontres d’Arles, au Palais de Tokyo à Paris, au Salon de Jérusalem, au Festival du film documentaire Yamagata au Japon, à la Berlinale en Allemagne, à la Biennale de Sharjah aux Émirats Arabes Unis, à Videobrasil et à Manifesta 8 en Espagne. Elle est aujourd’hui basée à Los Angeles.</p>
<p>Basma Alsharif déploie des systèmes de narration, entre fiction et réalité, qui s’apparentent simultanément à un récit et à une recherche. Elle s’intéresse aux paysages géopolitiques et environnements naturels en mutation, et notamment à la transmission de l’histoire de la Palestine, d’où sont originaires ses parents. Son premier long métrage a été réalisé en 2017, il s’intitule <em>Ouroboros,</em> du nom de l’un des plus vieux symboles ésotériques du monde, un serpent qui se mord la queue. Le synopsis du film est le suivant : « Un hommage à la bande de Gaza basé sur l’idée du retour éternel. Un voyage, qui suit un seul homme à travers cinq paysages différents, marquant le début comme la fin, de sorte à oublier sur la route l’échec de la civilisation ».</p>
<p>source : galerie Imane Fares<br />
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<p><strong>Œuvre exposée</strong></p>
<p><strong><em>L’Histoire du Lait et du Miel</em>, 2011</strong><br />
vidéo, couleur, 9 min 45 sec<br />
courtesy de l’artiste et de la galerie Imane Farès, Paris</p>
<p>Le film <em>L’Histoire du lait et du miel</em> (2011) dit toute la complexité du monde et du processus de création. Dans l’œuvre projetée à La Criée, il est question de cinéma, d’histoires intimes et de la difficulté à faire récit dans un contexte géopolitique complexe. Un narrateur raconte son projet de réaliser une histoire d’amour fictive au Liban, mais l’expérience subjective individuelle est confrontée au paysage politique et à la mémoire collective. On comprend son incapacité à faire aboutir son histoire, qui évolue vers une forme d’expérimentation. Le montage est un collage d’images, de documents d’archives, de textes et de sous-titres. La confusion des langages s’accentuent avec les voix et la musique, puisée dans le répertoire populaire, du cinéma ou des chansons d’amour du Moyen-Orient. Le film est une mise en abîme de plusieurs écrans et récits, une poésie visuelle ancrée dans une réalité historique et politique, qui s’écrit à la fois au singulier et au pluriel. Le film est l’histoire du pays du lait et du miel.</p>
<p>Cette vidéo est parfois accompagnée d’une installation de dessins et de soixante-six photographies réparties en trois séries : <em>Les Sauvages</em>, <em>Corniche Beirut</em> , <em>Original Family Archives</em>. Ceux-ci sont évoqués dans la vidéo.</p>
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— Diplômée de l’Université des Beaux-arts de l’Illinois à Chicago en 2007, Basma Alsharif développe une pratique nomade entre Chicago, le Caire, Beyrouth, Sharjah, Amman, la bande de Gaza et Paris. Son travail a été exposé à la Biennale de Whitney à New-York, aux Rencontres d’Arles, au Palais de Tokyo à Paris, au Salon de Jérusalem, au Festival du film documentaire Yamagata au Japon, à la Berlinale en Allemagne, à la Biennale de Sharjah aux Émirats Arabes Unis, à Videobrasil et à Manifesta 8 en Espagne. Elle est aujourd’hui basée à Los Angeles. Basma Alsharif déploie des systèmes de narration, entre fiction et réalité, qui s’apparentent simultanément à un récit et à une recherche. Elle s’intéresse aux paysages géopolitiques et environnements naturels en mutation, et notamment à la transmission de l’histoire de la Palestine, d’où sont originaires ses parents. Son premier long métrage a été réalisé en 2017, il s’intitule Ouroboros, du nom de l’un des plus vieux symboles ésotériques du monde, un serpent qui se mord la queue. Le synopsis du film est le suivant : « Un hommage à la bande de Gaza basé sur l’idée du retour éternel. Un voyage, qui suit un seul homme à travers cinq paysages différents, marquant le début comme la fin, de sorte à oublier sur la route l’échec de la civilisation ». source : galerie Imane Fares Œuvre exposée L’Histoire du Lait et du Miel, 2011 Le film L’Histoire du lait et du miel (2011) dit toute la complexité du monde et du processus de création. Dans l’œuvre projetée à La Criée, il est question de cinéma, d’histoires intimes et de la difficulté à faire récit dans un contexte géopolitique complexe. Un narrateur raconte son projet de réaliser une histoire d’amour fictive au Liban, mais l’expérience subjective individuelle est confrontée au paysage politique et à la mémoire collective. On comprend son incapacité à faire aboutir son histoire, qui évolue vers une forme d’expérimentation. Le montage est un collage d’images, de documents d’archives, de textes et de sous-titres. La confusion des langages s’accentuent avec les voix et la musique, puisée dans le répertoire populaire, du cinéma ou des chansons d’amour du Moyen-Orient. Le film est une mise en abîme de plusieurs écrans et récits, une poésie visuelle ancrée dans une réalité historique et politique, qui s’écrit à la fois au singulier et au pluriel. Le film est l’histoire du pays du lait et du miel. Cette vidéo est parfois accompagnée d’une installation de dessins et de soixante-six photographies réparties en trois séries : Les Sauvages, Corniche Beirut , Original Family Archives. Ceux-ci sont évoqués dans la vidéo. —
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