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<strong>—</strong>
<strong>Anthony McCall
</strong>né en 1946 à St. Paul's Cray, Royaume-Uni.
vit et travaille à New York, États-Unis.
représenté par galerie Martine Aboucaya, Paris
<a href="http://www.martineaboucaya.com/">www.martineaboucaya.com/</a>
Depuis les années 70, l'artiste britannique Anthony McCall n'a cessé de repousser les limites de l'art. L'importance de son œuvre a été reconnue par des expositions monographiques récentes au EYE Film Museum, Amsterdam (2014), au musée The Hepworth Wakefield (2018), au Pioneer Works, Brooklyn NY (2018) et à la Sean Kelly Gallery, New York, (2018/19).
McCall développe des recherches sur le paysage et des interventions <em>in situ</em> qui prennent la forme de performances sculpturales filmées. Ces premières œuvres sont fortement inspirées par le cinéma et il devient une figure du film d'avant-garde britannique. Après une pause d'une vingtaine d'années il est de nouveau présent sur la scène artistique. Aujourd'hui son regard est tourné vers les formes volumétriques de lumière matérialisées dans l'espace et au travers lesquelles il explore les frontières entre le cinéma et la sculpture. Ces sculptures de lumière créées par des projections dans la brume, sont tant visuelles que physiques et invitent à la participation active du spectateur.
<strong>_</strong>
<strong> Œuvres exposées</strong>
<strong><em>Landscape For Fire</em>, 1972</strong>
film 16 mm, couleur, son, numérisé en 2005, 7 min 5 sec
courtesy de l'artiste et de la galerie Martine Aboucaya, Paris
<strong><em>Landscape for white squares</em>, 1972</strong>
film 16 mm, couleur, son, numérisé en 2007, 3 min 20 sec
courtesy de l'artiste et de la galerie Martine Aboucaya, Paris
Les œuvres <em>Landscape for Fire</em> et <em>Landscape for white square</em> sont parmi les premiers films de McCall et s'inscrivent dans l'histoire du Land Art. L'artiste a fabriqué et composé en direct ses performances sculpturales filmées, en collaboration avec le groupe britannique Exit qui regroupait musiciens et artistes. On y retrouve les fondements du langage formel de McCall, à la frontière entre le cinéma, la sculpture dans l'espace et le travail de la lumière. Dans <em>Landscape for Fire</em>, des hommes habillés en blanc mettent le feu à de petits barils d'essence placés de manière géométrique au sol. Le feu éclaire progressivement un terrain d'aviation militaire, transformé en véritable grille de jeu. <em>Landscape for White Squares</em> a été tourné en noir et blanc, un matin de janvier sur un champ labouré, glacé et recouvert de brume. Des carrés blancs émergent progressivement, agités par des hommes en blanc. On perçoit dans ces deux œuvres une volonté manifeste d’interagir avec le paysage.
<strong>—</strong>
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Anthony McCall
né en 1946 à St. Paul's Cray, Royaume-Uni.
vit et travaille à New York, États-Unis.
représenté par galerie Martine Aboucaya, Paris
www.martineaboucaya.com/
Depuis les années 70, l'artiste britannique Anthony McCall n'a cessé de repousser les limites de l'art. L'importance de son œuvre a été reconnue par des expositions monographiques récentes au EYE Film Museum, Amsterdam (2014), au musée The Hepworth Wakefield (2018), au Pioneer Works, Brooklyn NY (2018) et à la Sean Kelly Gallery, New York, (2018/19).
McCall développe des recherches sur le paysage et des interventions in situ qui prennent la forme de performances sculpturales filmées. Ces premières œuvres sont fortement inspirées par le cinéma et il devient une figure du film d'avant-garde britannique. Après une pause d'une vingtaine d'années il est de nouveau présent sur la scène artistique. Aujourd'hui son regard est tourné vers les formes volumétriques de lumière matérialisées dans l'espace et au travers lesquelles il explore les frontières entre le cinéma et la sculpture. Ces sculptures de lumière créées par des projections dans la brume, sont tant visuelles que physiques et invitent à la participation active du spectateur.
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Œuvres exposées
Landscape For Fire, 1972
film 16 mm, couleur, son, numérisé en 2005, 7 min 5 sec
courtesy de l'artiste et de la galerie Martine Aboucaya, Paris
Landscape for white squares, 1972
film 16 mm, couleur, son, numérisé en 2007, 3 min 20 sec
courtesy de l'artiste et de la galerie Martine Aboucaya, Paris
Les œuvres Landscape for Fire et Landscape for white square sont parmi les premiers films de McCall et s'inscrivent dans l'histoire du Land Art. L'artiste a fabriqué et composé en direct ses performances sculpturales filmées, en collaboration avec le groupe britannique Exit qui regroupait musiciens et artistes. On y retrouve les fondements du langage formel de McCall, à la frontière entre le cinéma, la sculpture dans l'espace et le travail de la lumière. Dans Landscape for Fire, des hommes habillés en blanc mettent le feu à de petits barils d'essence placés de manière géométrique au sol. Le feu éclaire progressivement un terrain d'aviation militaire, transformé en véritable grille de jeu. Landscape for White Squares a été tourné en noir et blanc, un matin de janvier sur un champ labouré, glacé et recouvert de brume. Des carrés blancs émergent progressivement, agités par des hommes en blanc. On perçoit dans ces deux œuvres une volonté manifeste d’interagir avec le paysage.
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<p><strong>—</strong><br />
<strong>Anthony McCall<br />
</strong>né en 1946 à St. Paul’s Cray, Royaume-Uni.<br />
vit et travaille à New York, États-Unis.<br />
représenté par galerie Martine Aboucaya, Paris<br />
<a href="http://www.martineaboucaya.com/">www.martineaboucaya.com/</a></p>
<p>Depuis les années 70, l’artiste britannique Anthony McCall n’a cessé de repousser les limites de l’art. L’importance de son œuvre a été reconnue par des expositions monographiques récentes au EYE Film Museum, Amsterdam (2014), au musée The Hepworth Wakefield (2018), au Pioneer Works, Brooklyn NY (2018) et à la Sean Kelly Gallery, New York, (2018/19).</p>
<p>McCall développe des recherches sur le paysage et des interventions <em>in situ</em> qui prennent la forme de performances sculpturales filmées. Ces premières œuvres sont fortement inspirées par le cinéma et il devient une figure du film d’avant-garde britannique. Après une pause d’une vingtaine d’années il est de nouveau présent sur la scène artistique. Aujourd’hui son regard est tourné vers les formes volumétriques de lumière matérialisées dans l’espace et au travers lesquelles il explore les frontières entre le cinéma et la sculpture. Ces sculptures de lumière créées par des projections dans la brume, sont tant visuelles que physiques et invitent à la participation active du spectateur.<br />
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<p><strong> Œuvres exposées</strong></p>
<p><strong><em>Landscape For Fire</em>, 1972</strong><br />
film 16 mm, couleur, son, numérisé en 2005, 7 min 5 sec<br />
courtesy de l’artiste et de la galerie Martine Aboucaya, Paris</p>
<p><strong><em>Landscape for white squares</em>, 1972</strong><br />
film 16 mm, couleur, son, numérisé en 2007, 3 min 20 sec<br />
courtesy de l’artiste et de la galerie Martine Aboucaya, Paris</p>
<p>Les œuvres <em>Landscape for Fire</em> et <em>Landscape for white square</em> sont parmi les premiers films de McCall et s’inscrivent dans l’histoire du Land Art. L’artiste a fabriqué et composé en direct ses performances sculpturales filmées, en collaboration avec le groupe britannique Exit qui regroupait musiciens et artistes. On y retrouve les fondements du langage formel de McCall, à la frontière entre le cinéma, la sculpture dans l’espace et le travail de la lumière. Dans <em>Landscape for Fire</em>, des hommes habillés en blanc mettent le feu à de petits barils d’essence placés de manière géométrique au sol. Le feu éclaire progressivement un terrain d’aviation militaire, transformé en véritable grille de jeu. <em>Landscape for White Squares</em> a été tourné en noir et blanc, un matin de janvier sur un champ labouré, glacé et recouvert de brume. Des carrés blancs émergent progressivement, agités par des hommes en blanc. On perçoit dans ces deux œuvres une volonté manifeste d’interagir avec le paysage.</p>
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— Depuis les années 70, l’artiste britannique Anthony McCall n’a cessé de repousser les limites de l’art. L’importance de son œuvre a été reconnue par des expositions monographiques récentes au EYE Film Museum, Amsterdam (2014), au musée The Hepworth Wakefield (2018), au Pioneer Works, Brooklyn NY (2018) et à la Sean Kelly Gallery, New York, (2018/19). McCall développe des recherches sur le paysage et des interventions in situ qui prennent la forme de performances sculpturales filmées. Ces premières œuvres sont fortement inspirées par le cinéma et il devient une figure du film d’avant-garde britannique. Après une pause d’une vingtaine d’années il est de nouveau présent sur la scène artistique. Aujourd’hui son regard est tourné vers les formes volumétriques de lumière matérialisées dans l’espace et au travers lesquelles il explore les frontières entre le cinéma et la sculpture. Ces sculptures de lumière créées par des projections dans la brume, sont tant visuelles que physiques et invitent à la participation active du spectateur. Œuvres exposées Landscape For Fire, 1972 Landscape for white squares, 1972 Les œuvres Landscape for Fire et Landscape for white square sont parmi les premiers films de McCall et s’inscrivent dans l’histoire du Land Art. L’artiste a fabriqué et composé en direct ses performances sculpturales filmées, en collaboration avec le groupe britannique Exit qui regroupait musiciens et artistes. On y retrouve les fondements du langage formel de McCall, à la frontière entre le cinéma, la sculpture dans l’espace et le travail de la lumière. Dans Landscape for Fire, des hommes habillés en blanc mettent le feu à de petits barils d’essence placés de manière géométrique au sol. Le feu éclaire progressivement un terrain d’aviation militaire, transformé en véritable grille de jeu. Landscape for White Squares a été tourné en noir et blanc, un matin de janvier sur un champ labouré, glacé et recouvert de brume. Des carrés blancs émergent progressivement, agités par des hommes en blanc. On perçoit dans ces deux œuvres une volonté manifeste d’interagir avec le paysage.
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