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<sup>Vincent Gicquel, 2018 © Valérie Rulleau</sup>
né en 1974 en Normandie, France
vit et travaille à Bordeaux, France
représenté par la <a href="http://www.galeriethomasbernard.com/fr/artistes/oeuvres/747/vincent-gicquel">galerie Thomas Bernard – Cortex Athletico</a>
Vincent Gicquel passe son enfance entre Dinan et St Malo à construire des cabanes et, quand il pleut, à reproduire dans l'atelier de son père les tableaux des grands peintres (Van Gogh, Monet ou Picasso...). Il développe alors un attachement très profond pour la peinture à l'huile et un peu plus tard pour la philosophie tragique de Nietzsche et Schopenhauer. Son travail se nourrit également des grandes œuvres littéraires, notamment du poète et dramaturge Thomas Bernard et de la psychanalyse. Ses lectures confortent sa vision du monde et son désir profond d’être peintre. Pour l’artiste, le seul sujet possible de sa peinture, c’est l’Homme et son rapport au monde. Vincent Gicquel peint essentiellement des figures humaines, vivantes, dans des situations curieuses et absurdes. Ses personnages étranges nous regardent toujours et nous surprennent : « ils sont les témoins immortels de notre passage sur la terre » dit Vincent Gicquel. Ils jouent, rient, pleurent, s’amusent, aiment, sans vanité ni artifice.
<strong>« La mort est mon sujet favori parce que la vie est mon sujet favori »</strong>
<p style="text-align: right;">Vincent Gicquel</p>
<strong> </strong>
<sup><strong> </strong></sup>
Vincent Gicquel, 2018 © Valérie Rulleau
né en 1974 en Normandie, France
vit et travaille à Bordeaux, France
représenté par la galerie Thomas Bernard – Cortex Athletico
Vincent Gicquel passe son enfance entre Dinan et St Malo à construire des cabanes et, quand il pleut, à reproduire dans l'atelier de son père les tableaux des grands peintres (Van Gogh, Monet ou Picasso...). Il développe alors un attachement très profond pour la peinture à l'huile et un peu plus tard pour la philosophie tragique de Nietzsche et Schopenhauer. Son travail se nourrit également des grandes œuvres littéraires, notamment du poète et dramaturge Thomas Bernard et de la psychanalyse. Ses lectures confortent sa vision du monde et son désir profond d’être peintre. Pour l’artiste, le seul sujet possible de sa peinture, c’est l’Homme et son rapport au monde. Vincent Gicquel peint essentiellement des figures humaines, vivantes, dans des situations curieuses et absurdes. Ses personnages étranges nous regardent toujours et nous surprennent : « ils sont les témoins immortels de notre passage sur la terre » dit Vincent Gicquel. Ils jouent, rient, pleurent, s’amusent, aiment, sans vanité ni artifice.
« La mort est mon sujet favori parce que la vie est mon sujet favori »
Vincent Gicquel |
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<p><sup>Vincent Gicquel, 2018 © Valérie Rulleau</sup></p>
<p>né en 1974 en Normandie, France<br />
vit et travaille à Bordeaux, France<br />
représenté par la <a href="http://www.galeriethomasbernard.com/fr/artistes/oeuvres/747/vincent-gicquel">galerie Thomas Bernard – Cortex Athletico</a></p>
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<p>Vincent Gicquel passe son enfance entre Dinan et St Malo à construire des cabanes et, quand il pleut, à reproduire dans l’atelier de son père les tableaux des grands peintres (Van Gogh, Monet ou Picasso…). Il développe alors un attachement très profond pour la peinture à l’huile et un peu plus tard pour la philosophie tragique de Nietzsche et Schopenhauer. Son travail se nourrit également des grandes œuvres littéraires, notamment du poète et dramaturge Thomas Bernard et de la psychanalyse. Ses lectures confortent sa vision du monde et son désir profond d’être peintre. Pour l’artiste, le seul sujet possible de sa peinture, c’est l’Homme et son rapport au monde. Vincent Gicquel peint essentiellement des figures humaines, vivantes, dans des situations curieuses et absurdes. Ses personnages étranges nous regardent toujours et nous surprennent : « ils sont les témoins immortels de notre passage sur la terre » dit Vincent Gicquel. Ils jouent, rient, pleurent, s’amusent, aiment, sans vanité ni artifice.</p>
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<p><strong>« La mort est mon sujet favori parce que la vie est mon sujet favori »</strong></p>
<p style="text-align: right;">Vincent Gicquel</p>
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<p><sup><strong> </strong></sup></p>
Vincent Gicquel, 2018 © Valérie Rulleau né en 1974 en Normandie, France
Vincent Gicquel passe son enfance entre Dinan et St Malo à construire des cabanes et, quand il pleut, à reproduire dans l’atelier de son père les tableaux des grands peintres (Van Gogh, Monet ou Picasso…). Il développe alors un attachement très profond pour la peinture à l’huile et un peu plus tard pour la philosophie tragique de Nietzsche et Schopenhauer. Son travail se nourrit également des grandes œuvres littéraires, notamment du poète et dramaturge Thomas Bernard et de la psychanalyse. Ses lectures confortent sa vision du monde et son désir profond d’être peintre. Pour l’artiste, le seul sujet possible de sa peinture, c’est l’Homme et son rapport au monde. Vincent Gicquel peint essentiellement des figures humaines, vivantes, dans des situations curieuses et absurdes. Ses personnages étranges nous regardent toujours et nous surprennent : « ils sont les témoins immortels de notre passage sur la terre » dit Vincent Gicquel. Ils jouent, rient, pleurent, s’amusent, aiment, sans vanité ni artifice.
« La mort est mon sujet favori parce que la vie est mon sujet favori » Vincent Gicquel
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