id | Integer 14050 |
date | String 2019-06-18 14:16:53 |
slug | String olivia-plender |
title | String Olivia Plender |
content |
String
<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/06/Olivia-plender-1.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-full wp-image-14109" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/06/Olivia-plender-1.jpg" alt="" width="150" height="150" /></a>
née en 1977 à Londres, Royaume-Uni
vit et travaille à Stockholm, Suède
représentée par la galerie Maureen Paley, Londres
www.maureenpaley.com
Olivia Plender s'exprime à travers de nombreux médiums, du roman graphique à la performance en passant par la vidéo et l'installation. Elle mène des recherches sur l'histoire, étudie l'idéologie de la narration et l'évolution récente des méthodes d'éducation. Elle examine les économies basées sur un système "post-Fordien", les relations sociales et la marchandisation de la connaissance. Ses travaux traitent également de l'évolution de la société industrielle et de l’effondrement de l’écart entre loisirs et travail.
Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles : Tensta Konsthall, Stockholm, 2019, Maureen Paley, Londres, 2016 ; ar/ge kunst, Bolzano, 2015 ; MK Gallery, Milton Keynes ; Arnolfini Gallery, Bristol ; CCA, Glasgow, 2012 ; Gasworks, Londres, 2009. Elle a également participé à des expositions collectives, notamment à la Biennale de Gothenburg, 2017, la Triennale de Folkestone, 2011, au British Art Show 7, 2010-2011, à la Biennale de Taipei, 2010, à la Tate Triennial, 2006 et 2009, et <em>The Greenroom</em>, Hessel Museum of Art, CCS Bard, New York, 2008.
source : <a href="https://todaysartworld.wordpress.com/tag/lucy-skaer/">https://todaysartworld.wordpress.com/tag/lucy-skaer/</a>
-
<strong>Œuvre exposée</strong>
<strong><em>Learning to Speak Sense, </em></strong><strong>2015 </strong>
installation sonore, toile avec des instructions écrites à la main, 260 x 180 cm
Cette installation reflète les traumatismes et les violences subis par celles et ceux qui tentent de trouver leur voix face à l’autorité. L'œuvre est inspirée de l'expérience propre de Plender : Elle a perdu la faculté de parler pendant un an. Les phrases et tournures qu'elle a dû répéter lors de ses rééducations vocales lui semblaient chargées de messages politiques subliminaux. Les phrases<em> Many Maids Make Much Noise</em> et <em>Militant Miners Means More Money</em> paraissent faire le lien avec la capacité d'une voix collective à se faire entendre, à susciter l’attention, à <em>faire du bruit</em>. "Dans le contexte britannique, les <em>mineurs militants </em>évoquent immédiatement les grandes grèves des années 1980". Avec <em>Learning to Speak Sense</em>, Olivia Plender mêle la conscience historique et l’intime pour réhabiliter l’un des plus puissants véhicules de communication, la voix.
née en 1977 à Londres, Royaume-Uni
vit et travaille à Stockholm, Suède
représentée par la galerie Maureen Paley, Londres
www.maureenpaley.com
Olivia Plender s'exprime à travers de nombreux médiums, du roman graphique à la performance en passant par la vidéo et l'installation. Elle mène des recherches sur l'histoire, étudie l'idéologie de la narration et l'évolution récente des méthodes d'éducation. Elle examine les économies basées sur un système "post-Fordien", les relations sociales et la marchandisation de la connaissance. Ses travaux traitent également de l'évolution de la société industrielle et de l’effondrement de l’écart entre loisirs et travail.
Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles : Tensta Konsthall, Stockholm, 2019, Maureen Paley, Londres, 2016 ; ar/ge kunst, Bolzano, 2015 ; MK Gallery, Milton Keynes ; Arnolfini Gallery, Bristol ; CCA, Glasgow, 2012 ; Gasworks, Londres, 2009. Elle a également participé à des expositions collectives, notamment à la Biennale de Gothenburg, 2017, la Triennale de Folkestone, 2011, au British Art Show 7, 2010-2011, à la Biennale de Taipei, 2010, à la Tate Triennial, 2006 et 2009, et The Greenroom, Hessel Museum of Art, CCS Bard, New York, 2008.
source : https://todaysartworld.wordpress.com/tag/lucy-skaer/
-
Œuvre exposée
Learning to Speak Sense, 2015
installation sonore, toile avec des instructions écrites à la main, 260 x 180 cm
Cette installation reflète les traumatismes et les violences subis par celles et ceux qui tentent de trouver leur voix face à l’autorité. L'œuvre est inspirée de l'expérience propre de Plender : Elle a perdu la faculté de parler pendant un an. Les phrases et tournures qu'elle a dû répéter lors de ses rééducations vocales lui semblaient chargées de messages politiques subliminaux. Les phrases Many Maids Make Much Noise et Militant Miners Means More Money paraissent faire le lien avec la capacité d'une voix collective à se faire entendre, à susciter l’attention, à faire du bruit. "Dans le contexte britannique, les mineurs militants évoquent immédiatement les grandes grèves des années 1980". Avec Learning to Speak Sense, Olivia Plender mêle la conscience historique et l’intime pour réhabiliter l’un des plus puissants véhicules de communication, la voix.
|
excerpt | String |
content_filtered |
String
<p><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/06/Olivia-plender-1.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-full wp-image-14109" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2019/06/Olivia-plender-1.jpg" alt="" width="150" height="150" /></a></p>
<p>née en 1977 à Londres, Royaume-Uni<br />
vit et travaille à Stockholm, Suède</p>
<p>représentée par la galerie Maureen Paley, Londres<br />
www.maureenpaley.com</p>
<p>Olivia Plender s’exprime à travers de nombreux médiums, du roman graphique à la performance en passant par la vidéo et l’installation. Elle mène des recherches sur l’histoire, étudie l’idéologie de la narration et l’évolution récente des méthodes d’éducation. Elle examine les économies basées sur un système « post-Fordien », les relations sociales et la marchandisation de la connaissance. Ses travaux traitent également de l’évolution de la société industrielle et de l’effondrement de l’écart entre loisirs et travail.</p>
<p>Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles : Tensta Konsthall, Stockholm, 2019, Maureen Paley, Londres, 2016 ; ar/ge kunst, Bolzano, 2015 ; MK Gallery, Milton Keynes ; Arnolfini Gallery, Bristol ; CCA, Glasgow, 2012 ; Gasworks, Londres, 2009. Elle a également participé à des expositions collectives, notamment à la Biennale de Gothenburg, 2017, la Triennale de Folkestone, 2011, au British Art Show 7, 2010-2011, à la Biennale de Taipei, 2010, à la Tate Triennial, 2006 et 2009, et <em>The Greenroom</em>, Hessel Museum of Art, CCS Bard, New York, 2008.</p>
<p>source : <a href="https://todaysartworld.wordpress.com/tag/lucy-skaer/">https://todaysartworld.wordpress.com/tag/lucy-skaer/</a></p>
<p>–</p>
<p><strong>Œuvre exposée</strong></p>
<p><strong><em>Learning to Speak Sense, </em></strong><strong>2015 </strong></p>
<p>installation sonore, toile avec des instructions écrites à la main, 260 x 180 cm</p>
<p>Cette installation reflète les traumatismes et les violences subis par celles et ceux qui tentent de trouver leur voix face à l’autorité. L’œuvre est inspirée de l’expérience propre de Plender : Elle a perdu la faculté de parler pendant un an. Les phrases et tournures qu’elle a dû répéter lors de ses rééducations vocales lui semblaient chargées de messages politiques subliminaux. Les phrases<em> Many Maids Make Much Noise</em> et <em>Militant Miners Means More Money</em> paraissent faire le lien avec la capacité d’une voix collective à se faire entendre, à susciter l’attention, à <em>faire du bruit</em>. « Dans le contexte britannique, les <em>mineurs militants </em>évoquent immédiatement les grandes grèves des années 1980″. Avec <em>Learning to Speak Sense</em>, Olivia Plender mêle la conscience historique et l’intime pour réhabiliter l’un des plus puissants véhicules de communication, la voix.</p>
<p> </p>
née en 1977 à Londres, Royaume-Uni représentée par la galerie Maureen Paley, Londres Olivia Plender s’exprime à travers de nombreux médiums, du roman graphique à la performance en passant par la vidéo et l’installation. Elle mène des recherches sur l’histoire, étudie l’idéologie de la narration et l’évolution récente des méthodes d’éducation. Elle examine les économies basées sur un système « post-Fordien », les relations sociales et la marchandisation de la connaissance. Ses travaux traitent également de l’évolution de la société industrielle et de l’effondrement de l’écart entre loisirs et travail. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles : Tensta Konsthall, Stockholm, 2019, Maureen Paley, Londres, 2016 ; ar/ge kunst, Bolzano, 2015 ; MK Gallery, Milton Keynes ; Arnolfini Gallery, Bristol ; CCA, Glasgow, 2012 ; Gasworks, Londres, 2009. Elle a également participé à des expositions collectives, notamment à la Biennale de Gothenburg, 2017, la Triennale de Folkestone, 2011, au British Art Show 7, 2010-2011, à la Biennale de Taipei, 2010, à la Tate Triennial, 2006 et 2009, et The Greenroom, Hessel Museum of Art, CCS Bard, New York, 2008. source : https://todaysartworld.wordpress.com/tag/lucy-skaer/ – Œuvre exposée Learning to Speak Sense, 2015 installation sonore, toile avec des instructions écrites à la main, 260 x 180 cm Cette installation reflète les traumatismes et les violences subis par celles et ceux qui tentent de trouver leur voix face à l’autorité. L’œuvre est inspirée de l’expérience propre de Plender : Elle a perdu la faculté de parler pendant un an. Les phrases et tournures qu’elle a dû répéter lors de ses rééducations vocales lui semblaient chargées de messages politiques subliminaux. Les phrases Many Maids Make Much Noise et Militant Miners Means More Money paraissent faire le lien avec la capacité d’une voix collective à se faire entendre, à susciter l’attention, à faire du bruit. « Dans le contexte britannique, les mineurs militants évoquent immédiatement les grandes grèves des années 1980″. Avec Learning to Speak Sense, Olivia Plender mêle la conscience historique et l’intime pour réhabiliter l’un des plus puissants véhicules de communication, la voix.
|
data |
Hash
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
count | Integer 3 |
data |
Hash
|
||||||||||||
count | Integer 6 |
data |
Array
|
count | Integer 0 |
data |
Array
Single
Hash
|
||||||||||||||||||||
count | Integer 1 |