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| date | String 2014-04-01 10:10:24 |
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| title | String Francis Alys, Reel, Unreel, 2011 |
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<strong>Reel, Unreel</strong>, 2011
En collaboration avec Julien Devaux et Ajmal Maiwandi
Documentation d’une action, vidéo couleur, son, 20’
Courtesy de l’artiste et galerie Peter Kilchmann, Zürich
—
Né en 1959 à Anvers, Belgique
Vit et travaille à Mexico, Mexique
Francis Alÿs est représenté par la galerie Peter Kilchmann, Zürich
« Les qualités poétiques du travail d’Alÿs résident dans leur absurdité fantastique, leur caractère éphémère ou inachevé, leur imagerie de l’imagination et surtout dans leur ouverture énigmatique à l’interprétation. »
Mark Godfray, commissaire à la Tate Modern, Londres.
—
La vidéo est tournée en Afghanistan, sur les hauteurs puis dans les rues de Kaboul. On découvre la ville en suivant deux enfants qui la parcourent, depuis les collines aux alentours jusqu'à son centre, animé par la circulation, les commerces et la foule. L’un des enfants déroule en courant la bobine d’un film comme on jouerait avec un cerceau, tandis qu’un autre l’enroule sous le regard des passants.
<strong>Reel,Unreel</strong> révèle différentes facettes du travail de Francis Alÿs, de son engagement, par le choix du contexte géopolitique où les talibans ont brûlé les bobines de film, en passant par un hommage au cinéma avec la place centrale de la bobine dans l’action de la vidéo, jusqu’à la fascination qu'il a pour les jeux d'enfants.
[caption id="attachment_562" align="alignnone" width="300"]<a href="http://localhost/corr_criee2015/wp-content/uploads/2014/03/alys_reel_unreel11.jpg"><img class="size-medium wp-image-562" src="http://localhost/corr_criee2015/wp-content/uploads/2014/03/alys_reel_unreel11-300x169.jpg" alt="Francis Alys_reel_unreel" width="300" height="169" /></a> Francis Alys_reel_unreel[/caption]
Reel, Unreel, 2011
En collaboration avec Julien Devaux et Ajmal Maiwandi
Documentation d’une action, vidéo couleur, son, 20’
Courtesy de l’artiste et galerie Peter Kilchmann, Zürich
—
Né en 1959 à Anvers, Belgique
Vit et travaille à Mexico, Mexique
Francis Alÿs est représenté par la galerie Peter Kilchmann, Zürich
« Les qualités poétiques du travail d’Alÿs résident dans leur absurdité fantastique, leur caractère éphémère ou inachevé, leur imagerie de l’imagination et surtout dans leur ouverture énigmatique à l’interprétation. »
Mark Godfray, commissaire à la Tate Modern, Londres.
—
La vidéo est tournée en Afghanistan, sur les hauteurs puis dans les rues de Kaboul. On découvre la ville en suivant deux enfants qui la parcourent, depuis les collines aux alentours jusqu'à son centre, animé par la circulation, les commerces et la foule. L’un des enfants déroule en courant la bobine d’un film comme on jouerait avec un cerceau, tandis qu’un autre l’enroule sous le regard des passants.
Reel,Unreel révèle différentes facettes du travail de Francis Alÿs, de son engagement, par le choix du contexte géopolitique où les talibans ont brûlé les bobines de film, en passant par un hommage au cinéma avec la place centrale de la bobine dans l’action de la vidéo, jusqu’à la fascination qu'il a pour les jeux d'enfants.
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<p><strong>Reel, Unreel</strong>, 2011</p>
<p>En collaboration avec Julien Devaux et Ajmal Maiwandi<br />
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Courtesy de l’artiste et galerie Peter Kilchmann, Zürich</p>
<p>—</p>
<p>Né en 1959 à Anvers, Belgique<br />
Vit et travaille à Mexico, Mexique</p>
<p>Francis Alÿs est représenté par la galerie Peter Kilchmann, Zürich</p>
<p>« Les qualités poétiques du travail d’Alÿs résident dans leur absurdité fantastique, leur caractère éphémère ou inachevé, leur imagerie de l’imagination et surtout dans leur ouverture énigmatique à l’interprétation. »</p>
<p>Mark Godfray, commissaire à la Tate Modern, Londres.</p>
<p>—</p>
<p>La vidéo est tournée en Afghanistan, sur les hauteurs puis dans les rues de Kaboul. On découvre la ville en suivant deux enfants qui la parcourent, depuis les collines aux alentours jusqu’à son centre, animé par la circulation, les commerces et la foule. L’un des enfants déroule en courant la bobine d’un film comme on jouerait avec un cerceau, tandis qu’un autre l’enroule sous le regard des passants.</p>
<p><strong>Reel,Unreel</strong> révèle différentes facettes du travail de Francis Alÿs, de son engagement, par le choix du contexte géopolitique où les talibans ont brûlé les bobines de film, en passant par un hommage au cinéma avec la place centrale de la bobine dans l’action de la vidéo, jusqu’à la fascination qu’il a pour les jeux d’enfants.</p>
<div id="attachment_562" style="width: 310px" class="wp-caption alignnone"><a href="http://localhost/corr_criee2015/wp-content/uploads/2014/03/alys_reel_unreel11.jpg"><img aria-describedby="caption-attachment-562" decoding="async" loading="lazy" class="size-medium wp-image-562" src="http://localhost/corr_criee2015/wp-content/uploads/2014/03/alys_reel_unreel11-300x169.jpg" alt="Francis Alys_reel_unreel" width="300" height="169" srcset="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2014/03/alys_reel_unreel11-300x169.jpg 300w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2014/03/alys_reel_unreel11.jpg 600w" sizes="(max-width: 300px) 100vw, 300px" /></a><p id="caption-attachment-562" class="wp-caption-text">Francis Alys_reel_unreel</p></div>
Reel, Unreel, 2011 En collaboration avec Julien Devaux et Ajmal Maiwandi — Né en 1959 à Anvers, Belgique Francis Alÿs est représenté par la galerie Peter Kilchmann, Zürich « Les qualités poétiques du travail d’Alÿs résident dans leur absurdité fantastique, leur caractère éphémère ou inachevé, leur imagerie de l’imagination et surtout dans leur ouverture énigmatique à l’interprétation. » Mark Godfray, commissaire à la Tate Modern, Londres. — La vidéo est tournée en Afghanistan, sur les hauteurs puis dans les rues de Kaboul. On découvre la ville en suivant deux enfants qui la parcourent, depuis les collines aux alentours jusqu’à son centre, animé par la circulation, les commerces et la foule. L’un des enfants déroule en courant la bobine d’un film comme on jouerait avec un cerceau, tandis qu’un autre l’enroule sous le regard des passants. Reel,Unreel révèle différentes facettes du travail de Francis Alÿs, de son engagement, par le choix du contexte géopolitique où les talibans ont brûlé les bobines de film, en passant par un hommage au cinéma avec la place centrale de la bobine dans l’action de la vidéo, jusqu’à la fascination qu’il a pour les jeux d’enfants. Francis Alys_reel_unreel |
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