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date | String 2017-01-05 11:05:40 |
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<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/Shimabuku-nb-002.jpg"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-thumbnail wp-image-7096" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/12/Shimabuku-nb-002-150x150.jpg" alt="shimabuku-nb-002" width="150" height="150" /></a>
Né en 1969 à Kobe, Japon
Vit et travaille à Berlin, Allemagne
<a href="http://www.shimabuku.net/">www.shimabuku.net</a>
Représenté par Air de Paris, Paris
<a href="http://www.airdeparis.com/artists.htm">www.airdeparis.com</a>
Shimabuku parcourt le monde accumulant les rencontres insolites. Renouant avec une esthétique de la dérive situationniste, il a étudié à Osaka puis à San Fransisco pour ensuite voyager à travers différents ports du monde, au Japon, au Brésil, en France, aux Pays-Bas et aux Etats-Unis. L’artiste expérimente différentes interactions possibles avec le vivant afin de repousser les limites physiques ou imaginaires. Ses œuvres sont très souvent accompagnées du récit de leur conception, révélant la part dûe au hasard. Elles se laissent volontiers raconter tout en véhiculant une image forte, transformant les personnages de ses mises en scènes en véritables icônes. La pieuvre apparaît ainsi ponctuellement dans différentes situations imaginées par l’artiste.
_
<strong>Œuvre exposée:</strong>
<strong>Octopus Stone (Pierre de pieuvre)</strong>, 2013-2017
Pierres et coquillages, socle, texte,
Plexiglas, 150 x 50 x 60 cm
Comme un emblème, <em>Octopus Stone</em> rassemble une quinzaine de pierres et de coquillages en apparence anodins, accompagnée d'une explication laconique de Shimabuku lui-même: «Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j'aime à collectionner ces objets à mon tour». Mise en abyme complexe du travail de l’artiste, ces quelques mots suffisent à conférer une aura de mystère à ces débris marins, dont la matérialité brute se dissout dans la rêverie du spectateur. Chez Shimabuku, le débris intervient non plus pour son potentiel esthétique ou sa valeur subversive, mais plutôt pour sa capacité de signifiance. Artiste qui collectionne, combine et distille, à l’heure où le réel se dérobe, Shimabuku s’efforce de faire ressurgir des mondes engloutis.
Né en 1969 à Kobe, Japon
Vit et travaille à Berlin, Allemagne
www.shimabuku.net
Représenté par Air de Paris, Paris
www.airdeparis.com
Shimabuku parcourt le monde accumulant les rencontres insolites. Renouant avec une esthétique de la dérive situationniste, il a étudié à Osaka puis à San Fransisco pour ensuite voyager à travers différents ports du monde, au Japon, au Brésil, en France, aux Pays-Bas et aux Etats-Unis. L’artiste expérimente différentes interactions possibles avec le vivant afin de repousser les limites physiques ou imaginaires. Ses œuvres sont très souvent accompagnées du récit de leur conception, révélant la part dûe au hasard. Elles se laissent volontiers raconter tout en véhiculant une image forte, transformant les personnages de ses mises en scènes en véritables icônes. La pieuvre apparaît ainsi ponctuellement dans différentes situations imaginées par l’artiste.
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Œuvre exposée:
Octopus Stone (Pierre de pieuvre), 2013-2017
Pierres et coquillages, socle, texte,
Plexiglas, 150 x 50 x 60 cm
Comme un emblème, Octopus Stone rassemble une quinzaine de pierres et de coquillages en apparence anodins, accompagnée d'une explication laconique de Shimabuku lui-même: «Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j'aime à collectionner ces objets à mon tour». Mise en abyme complexe du travail de l’artiste, ces quelques mots suffisent à conférer une aura de mystère à ces débris marins, dont la matérialité brute se dissout dans la rêverie du spectateur. Chez Shimabuku, le débris intervient non plus pour son potentiel esthétique ou sa valeur subversive, mais plutôt pour sa capacité de signifiance. Artiste qui collectionne, combine et distille, à l’heure où le réel se dérobe, Shimabuku s’efforce de faire ressurgir des mondes engloutis.
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<p>Né en 1969 à Kobe, Japon<br />
Vit et travaille à Berlin, Allemagne<br />
<a href="http://www.shimabuku.net/">www.shimabuku.net</a><br />
Représenté par Air de Paris, Paris<br />
<a href="http://www.airdeparis.com/artists.htm">www.airdeparis.com</a></p>
<p>Shimabuku parcourt le monde accumulant les rencontres insolites. Renouant avec une esthétique de la dérive situationniste, il a étudié à Osaka puis à San Fransisco pour ensuite voyager à travers différents ports du monde, au Japon, au Brésil, en France, aux Pays-Bas et aux Etats-Unis. L’artiste expérimente différentes interactions possibles avec le vivant afin de repousser les limites physiques ou imaginaires. Ses œuvres sont très souvent accompagnées du récit de leur conception, révélant la part dûe au hasard. Elles se laissent volontiers raconter tout en véhiculant une image forte, transformant les personnages de ses mises en scènes en véritables icônes. La pieuvre apparaît ainsi ponctuellement dans différentes situations imaginées par l’artiste.</p>
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<p><strong>Œuvre exposée:</strong></p>
<p><strong>Octopus Stone (Pierre de pieuvre)</strong>, 2013-2017<br />
Pierres et coquillages, socle, texte,<br />
Plexiglas, 150 x 50 x 60 cm</p>
<p>Comme un emblème, <em>Octopus Stone</em> rassemble une quinzaine de pierres et de coquillages en apparence anodins, accompagnée d’une explication laconique de Shimabuku lui-même: «Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j’aime à collectionner ces objets à mon tour». Mise en abyme complexe du travail de l’artiste, ces quelques mots suffisent à conférer une aura de mystère à ces débris marins, dont la matérialité brute se dissout dans la rêverie du spectateur. Chez Shimabuku, le débris intervient non plus pour son potentiel esthétique ou sa valeur subversive, mais plutôt pour sa capacité de signifiance. Artiste qui collectionne, combine et distille, à l’heure où le réel se dérobe, Shimabuku s’efforce de faire ressurgir des mondes engloutis.</p>
Né en 1969 à Kobe, Japon Shimabuku parcourt le monde accumulant les rencontres insolites. Renouant avec une esthétique de la dérive situationniste, il a étudié à Osaka puis à San Fransisco pour ensuite voyager à travers différents ports du monde, au Japon, au Brésil, en France, aux Pays-Bas et aux Etats-Unis. L’artiste expérimente différentes interactions possibles avec le vivant afin de repousser les limites physiques ou imaginaires. Ses œuvres sont très souvent accompagnées du récit de leur conception, révélant la part dûe au hasard. Elles se laissent volontiers raconter tout en véhiculant une image forte, transformant les personnages de ses mises en scènes en véritables icônes. La pieuvre apparaît ainsi ponctuellement dans différentes situations imaginées par l’artiste. _ Œuvre exposée: Octopus Stone (Pierre de pieuvre), 2013-2017 Comme un emblème, Octopus Stone rassemble une quinzaine de pierres et de coquillages en apparence anodins, accompagnée d’une explication laconique de Shimabuku lui-même: «Les pieuvres ramassent souvent des pierres et des coquillages au fond de la mer […]. Et j’aime à collectionner ces objets à mon tour». Mise en abyme complexe du travail de l’artiste, ces quelques mots suffisent à conférer une aura de mystère à ces débris marins, dont la matérialité brute se dissout dans la rêverie du spectateur. Chez Shimabuku, le débris intervient non plus pour son potentiel esthétique ou sa valeur subversive, mais plutôt pour sa capacité de signifiance. Artiste qui collectionne, combine et distille, à l’heure où le réel se dérobe, Shimabuku s’efforce de faire ressurgir des mondes engloutis. |
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