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<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna.jpg" rel="attachment wp-att-5371"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-thumbnail wp-image-5371" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-150x150.jpg" alt="Jean-Luc Verna" width="150" height="150" /></a>
Né en 1966 à Nice.
Vit et travaille à Paris.
Représenté par la galerie Air de Paris (Paris).
L'œuvre de Jean-Luc VERNA a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines. Siouxsie Sioux, sa muse a changé sa vie le jour où il l’a aperçu pour la première fois dans une émission d’Alain Maneval alors qu’il était encore adolescent. Une grande partie de ses œuvres et notamment ses dessins - réalisés sur une très large variété de papiers anciens récupérés et parfois assemblés sous forme de polyptiques - font ainsi référence à cette fascination devenue source d’inspiration. Son corps est la colonne vertébrale de son œuvre singulière qui renvoie à des phénomènes d’altérations (tatouages, piercing, maquillage) et qui actualise les questions de représentation et de reproduction. Dans ses photographies, son corps prend des poses et incarne simultanément des figures issues de l'histoire de l'art classique et de la culture rock. Sur scène, l'artiste se transforme en star du rock avec son groupe I Apologize ou en danseur dans les chorégraphies de Gisèle Vienne. Il multiplie les métamorphoses, allant jusqu'à interpréter tous les rôles d'un film sous la caméra de Brice Dellsperger. Il défait ainsi les catégories et mêle les genres. Non sans humour, il prête encore à confusion en donnant le même titre à toutes ses expositions personnelles depuis 1995 : "Vous n'êtes pas un peu beaucoup maquillé ?" - "Non."
<strong>_</strong>
<strong>Œuvre exposée</strong>
<strong><em>Baguette magique</em></strong> _ sculpture (2013-2015)
Acier
Dimensions H 2m20 x l 50 cm x ep 30 cm
L'œuvre de Jean-Luc Verna, des dessins qu'il reproduit sur son corps ou sur des murs, a la particularité de lier par diverses références l'histoire de l'art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines.
Il installe ici une baguette magique en acier dans les rochers lors d'une performance discrète qui le met en scène. Une clef d'enchantement plantée comme une Excalibur détournée.
"<em>L’étoile traverse toutes les couches de représentation, tous les supports, toutes les époques. Elle veut à la fois traduire des choses de grand luxe, de grande noblesse, elle est en même temps le packaging le plus vulgaire : on met une étoile, c’est un truc de pauvre, le truc des enfants, le truc en plastique. C’est tout à fait ce que j’aime et ce que je tends à être, quelque chose qui traverse et qui possède plusieurs niveaux de lectures. Par exemple, l’étoile est le corps humain, la tête, les bras, les jambes, c’est une évidence. C’est le corps humain renversé qui devient maléfique, une évidence pour moi aussi. C’est un des motifs à cinq branches le plus vieux de l’humanité, cette façon de tracer en noir ce qui est censé représenter la lumière m’intéresse, le côté négatif / positif est parfait.</em>"
<a href="http://inferno-magazine.com/2012/12/10/sous-le-maquillage-rencontre-avec-jean-luc-ve">Sous le maquillage : rencontre avec Jean-Luc Verna</a>, entretien réalisé par Julie Crenn pour inferno-magasine.com, le 10 décembre 2012
<a href="http://jlverna.online.fr/">Site de Jean-Luc Verna</a>
<a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique.jpg" rel="attachment wp-att-5372"><img class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-thumbnail wp-image-5372" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique-150x150.jpg" alt="Jean-Luc Verna - Baguette magique" width="150" height="150" /></a>
Né en 1966 à Nice.
Vit et travaille à Paris.
Représenté par la galerie Air de Paris (Paris).
L'œuvre de Jean-Luc VERNA a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines. Siouxsie Sioux, sa muse a changé sa vie le jour où il l’a aperçu pour la première fois dans une émission d’Alain Maneval alors qu’il était encore adolescent. Une grande partie de ses œuvres et notamment ses dessins - réalisés sur une très large variété de papiers anciens récupérés et parfois assemblés sous forme de polyptiques - font ainsi référence à cette fascination devenue source d’inspiration. Son corps est la colonne vertébrale de son œuvre singulière qui renvoie à des phénomènes d’altérations (tatouages, piercing, maquillage) et qui actualise les questions de représentation et de reproduction. Dans ses photographies, son corps prend des poses et incarne simultanément des figures issues de l'histoire de l'art classique et de la culture rock. Sur scène, l'artiste se transforme en star du rock avec son groupe I Apologize ou en danseur dans les chorégraphies de Gisèle Vienne. Il multiplie les métamorphoses, allant jusqu'à interpréter tous les rôles d'un film sous la caméra de Brice Dellsperger. Il défait ainsi les catégories et mêle les genres. Non sans humour, il prête encore à confusion en donnant le même titre à toutes ses expositions personnelles depuis 1995 : "Vous n'êtes pas un peu beaucoup maquillé ?" - "Non."
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Œuvre exposée
Baguette magique _ sculpture (2013-2015)
Acier
Dimensions H 2m20 x l 50 cm x ep 30 cm
L'œuvre de Jean-Luc Verna, des dessins qu'il reproduit sur son corps ou sur des murs, a la particularité de lier par diverses références l'histoire de l'art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines.
Il installe ici une baguette magique en acier dans les rochers lors d'une performance discrète qui le met en scène. Une clef d'enchantement plantée comme une Excalibur détournée.
"L’étoile traverse toutes les couches de représentation, tous les supports, toutes les époques. Elle veut à la fois traduire des choses de grand luxe, de grande noblesse, elle est en même temps le packaging le plus vulgaire : on met une étoile, c’est un truc de pauvre, le truc des enfants, le truc en plastique. C’est tout à fait ce que j’aime et ce que je tends à être, quelque chose qui traverse et qui possède plusieurs niveaux de lectures. Par exemple, l’étoile est le corps humain, la tête, les bras, les jambes, c’est une évidence. C’est le corps humain renversé qui devient maléfique, une évidence pour moi aussi. C’est un des motifs à cinq branches le plus vieux de l’humanité, cette façon de tracer en noir ce qui est censé représenter la lumière m’intéresse, le côté négatif / positif est parfait."
Sous le maquillage : rencontre avec Jean-Luc Verna, entretien réalisé par Julie Crenn pour inferno-magasine.com, le 10 décembre 2012
Site de Jean-Luc Verna
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<p>Né en 1966 à Nice.<br />
Vit et travaille à Paris.<br />
Représenté par la galerie Air de Paris (Paris).</p>
<p>L’œuvre de Jean-Luc VERNA a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines. Siouxsie Sioux, sa muse a changé sa vie le jour où il l’a aperçu pour la première fois dans une émission d’Alain Maneval alors qu’il était encore adolescent. Une grande partie de ses œuvres et notamment ses dessins – réalisés sur une très large variété de papiers anciens récupérés et parfois assemblés sous forme de polyptiques – font ainsi référence à cette fascination devenue source d’inspiration. Son corps est la colonne vertébrale de son œuvre singulière qui renvoie à des phénomènes d’altérations (tatouages, piercing, maquillage) et qui actualise les questions de représentation et de reproduction. Dans ses photographies, son corps prend des poses et incarne simultanément des figures issues de l’histoire de l’art classique et de la culture rock. Sur scène, l’artiste se transforme en star du rock avec son groupe I Apologize ou en danseur dans les chorégraphies de Gisèle Vienne. Il multiplie les métamorphoses, allant jusqu’à interpréter tous les rôles d’un film sous la caméra de Brice Dellsperger. Il défait ainsi les catégories et mêle les genres. Non sans humour, il prête encore à confusion en donnant le même titre à toutes ses expositions personnelles depuis 1995 : « Vous n’êtes pas un peu beaucoup maquillé ? » – « Non. »</p>
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<strong>Œuvre exposée</strong></p>
<p><strong><em>Baguette magique</em></strong> _ sculpture (2013-2015)<br />
Acier<br />
Dimensions H 2m20 x l 50 cm x ep 30 cm</p>
<p>L’œuvre de Jean-Luc Verna, des dessins qu’il reproduit sur son corps ou sur des murs, a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines.<br />
Il installe ici une baguette magique en acier dans les rochers lors d’une performance discrète qui le met en scène. Une clef d’enchantement plantée comme une Excalibur détournée.</p>
<p>« <em>L’étoile traverse toutes les couches de représentation, tous les supports, toutes les époques. Elle veut à la fois traduire des choses de grand luxe, de grande noblesse, elle est en même temps le packaging le plus vulgaire : on met une étoile, c’est un truc de pauvre, le truc des enfants, le truc en plastique. C’est tout à fait ce que j’aime et ce que je tends à être, quelque chose qui traverse et qui possède plusieurs niveaux de lectures. Par exemple, l’étoile est le corps humain, la tête, les bras, les jambes, c’est une évidence. C’est le corps humain renversé qui devient maléfique, une évidence pour moi aussi. C’est un des motifs à cinq branches le plus vieux de l’humanité, cette façon de tracer en noir ce qui est censé représenter la lumière m’intéresse, le côté négatif / positif est parfait.</em> »</p>
<p><a href="http://inferno-magazine.com/2012/12/10/sous-le-maquillage-rencontre-avec-jean-luc-ve">Sous le maquillage : rencontre avec Jean-Luc Verna</a>, entretien réalisé par Julie Crenn pour inferno-magasine.com, le 10 décembre 2012</p>
<p><a href="http://jlverna.online.fr/">Site de Jean-Luc Verna</a></p>
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<p><a href="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique.jpg" rel="attachment wp-att-5372"><img decoding="async" loading="lazy" class="img-thumbnail img-responsive alignleft size-thumbnail wp-image-5372" src="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique-150x150.jpg" alt="Jean-Luc Verna - Baguette magique" width="150" height="150" srcset="https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique-150x150.jpg 150w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique-220x220.jpg 220w, https://correspondances.la-criee.org/wp-content/uploads/2016/03/Jean-Luc-Verna-Baguette-magique-550x550-1459344561.jpg 550w" sizes="(max-width: 150px) 100vw, 150px" /></a></p>
Né en 1966 à Nice. L’œuvre de Jean-Luc VERNA a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines. Siouxsie Sioux, sa muse a changé sa vie le jour où il l’a aperçu pour la première fois dans une émission d’Alain Maneval alors qu’il était encore adolescent. Une grande partie de ses œuvres et notamment ses dessins – réalisés sur une très large variété de papiers anciens récupérés et parfois assemblés sous forme de polyptiques – font ainsi référence à cette fascination devenue source d’inspiration. Son corps est la colonne vertébrale de son œuvre singulière qui renvoie à des phénomènes d’altérations (tatouages, piercing, maquillage) et qui actualise les questions de représentation et de reproduction. Dans ses photographies, son corps prend des poses et incarne simultanément des figures issues de l’histoire de l’art classique et de la culture rock. Sur scène, l’artiste se transforme en star du rock avec son groupe I Apologize ou en danseur dans les chorégraphies de Gisèle Vienne. Il multiplie les métamorphoses, allant jusqu’à interpréter tous les rôles d’un film sous la caméra de Brice Dellsperger. Il défait ainsi les catégories et mêle les genres. Non sans humour, il prête encore à confusion en donnant le même titre à toutes ses expositions personnelles depuis 1995 : « Vous n’êtes pas un peu beaucoup maquillé ? » – « Non. » _ Baguette magique _ sculpture (2013-2015) L’œuvre de Jean-Luc Verna, des dessins qu’il reproduit sur son corps ou sur des murs, a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines. « L’étoile traverse toutes les couches de représentation, tous les supports, toutes les époques. Elle veut à la fois traduire des choses de grand luxe, de grande noblesse, elle est en même temps le packaging le plus vulgaire : on met une étoile, c’est un truc de pauvre, le truc des enfants, le truc en plastique. C’est tout à fait ce que j’aime et ce que je tends à être, quelque chose qui traverse et qui possède plusieurs niveaux de lectures. Par exemple, l’étoile est le corps humain, la tête, les bras, les jambes, c’est une évidence. C’est le corps humain renversé qui devient maléfique, une évidence pour moi aussi. C’est un des motifs à cinq branches le plus vieux de l’humanité, cette façon de tracer en noir ce qui est censé représenter la lumière m’intéresse, le côté négatif / positif est parfait. » Sous le maquillage : rencontre avec Jean-Luc Verna, entretien réalisé par Julie Crenn pour inferno-magasine.com, le 10 décembre 2012
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